MA TRANSFORMATION PHYSIQUE EXTRÊME EN 5 MOIS (JE DIS TOUT) !

156 jours de travail dans l’ombre, de silence, de discipline. J’ai tout gardé pour moi. Pas un mot, pas une image. Parce que parfois, il faut savoir se taire… et laisser le résultat parler.

Dans cette vidéo, je vous montre ce que 156 jours de détermination peuvent transformer et je vous dévoile le projet FAT KILLER !

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Chaque jour est différent. Chaque jour a une histoire. [Musique] Quel a été le moment clé pour toi pour entamer cette transformation physique ? J’en ai parlé à Morgan, je lui ai dit Morgan, j’ai envie de le faire. J’ai envie de reprendre. Il faut que je le fasse. Il faut que je le fasse. Les résultats parleront d’eux-même. C’està-dire que je montrerai ce que j’ai fait. [Musique] arrête de parler et fais que j’ai retrouvé ce qui me manquait et j’ai réussi à évoluer sur tous les plans et tout ça pour finalement pas faire de compétition. Tu peux nous dire pourquoi on avait dit qu’on en parlait pas. [Musique] Chaque jour est différent. Chaque jour a une histoire. L’important, c’est la volonté et la persévérance. Aujourd’hui, je ne vais pas à la salle juste pour m’entraîner une fois de plus, mais pour écrire un nouveau chapitre de ma vie. Mais laissez-moi vous expliquer tout depuis le début. [Musique] Salut Anour. Salut. Explique-nous comment ça a commencé. Quel a été le moment clé pour toi pour entamer cette transformation physique ? Alors pour être honnête, j’ai accompagné Morgan à ces compétitions en avril dernier. La dernière c’était à Toulouse quand il a gagné le NPC. Et en fait euh il y a eu un moment où euh Flo qui est un classique physique qui est passé procure là, il a fait monter ses enfants sur scène. Il avait il a deux deux enfants. Il a une petite fille et quand elle a gagné toute catégorie, sa fille, elle est montée sur scène et elle ressemblait à Olympe à ma fille. Mais vraiment elle lui ressemblait vraiment et forcément ça m’a énormément touché. Flo que je salue d’ailleurs, il a eu des larmes et je le comprends parce que franchement, j’aurais pleuré si j’avais vécu ça. Voilà, je pense qu’il faut être papa pour le peut-être pour le comprendre, ça peut paraître ridicule mais bref. Et en fait, je me suis imaginé à cette place et je me suis dit mais en pourquoi pas ? Et donc ça a germé dans ma tête et le lendemain matin quand je me suis levé, j’en ai parlé à Morgan. Je lui ai dit Morgan, j’ai envie de le faire, j’ai envie de reprendre. Et ça faisait de multiples fois que j’avais essayé euh depuis que je suis avec Amélie qu’on a les enfants et que j’arrivais pas à tout concilier. Soit ma santé suivait pas, soit voilà, j’arrivais pas à concilier le fait de reprendre le bodybuilding et tout ce qui allait avec. J’y arrivais pas tout simplement à cause de moi l’autodiscipline, tout un tas de facteurs. Donc j’en ai parlé à Morgan, il m’a dit pourquoi pas, je te soutiendrai. Et puis j’en ai parlé à ma femme quand même. Et là où avant bon, elle me disait “C’est compliqué” et elle a raison c’est compliqué. Là elle m’a soutenu, elle m’a dit “Si tu en as besoin, si ça te fait du bien, fais-le.” Et là je me suis dit “Mais il faut que je le fasse. Il faut que je le fasse. Ça fait partie de moi. C’est ma passion. Depuis que j’ai 15 ans, je rêve que de ça. Le bodybuilding, le bodybuilding, j’ai toujours fait ça que pour ça. Je n’arrive pas à avoir de rigueur et discipline sur la muscu, la diète. Juste moi pour être beau, me montrer sur les réseaux, c’est pas mon truc. Mon rêve, ça a toujours été Jack Hutler, Ronnie Colman particulièrement Jack Hutler. Voilà, ça a toujours été ça le bodybuilding. Alors bien sûr, je vais pas leur ressembler, j’aurais aimé mais voilà, tout un tas de choses font que je ne leur ressemblerai pas et que c’est pas mon but. Mais c’est vraiment le moment clé qui a déclenché quelque chose chez moi que j’avais mis en sommeil volontairement mais qui au final fait que je ne peux être pleinement heureux sans ça. Et du coup, tu as fait quoi ? Et ben le point le plus important pour moi du départ c’est je me suis dit je vais rien dire à personne parce que je trouve que et moi le premier j’ai joué ce yeux on est dans un monde où tout le monde parle tout le temps de ce qu’il va faire de ce qu’il a été de ce qui va entreprendre et se glorifie et on est dans une ère où on monte tout tout le temps et on joue un jeu sur les réseaux finalement et je me suis dit déjà faut que je le fasse avant tout pour moi et pas pour les autres premièrement et ensuite je savais que si j’en parlais publiquement ça allait me mettre beaucoup trop de pression et que j’étais pas forcément capable de supporter cette pression. Alors, j’ai dit du départ à ma femme, à Morgan, on va faire ça entre nous et je vais rien dire à personne le plus possible. En tout cas, je vais pas en parler. C’est-à-dire, je vais le faire dans ma grotte, dans ma bulle, comme à l’époque où les réseaux sociaux n’existaient pas. Alors, je vais continuer à communiquer, à travailler, mais je vais pas parler de ça. Je vais pas parler ni de mon entraînement, ni de ma diète, ni de mes objectifs, ni de ma transformation, rien. Et si je vais au bout, si je vais au bout, à ce moment-là, c’était ça, et ben les résultats parleront d’eux même. C’est-à-dire que je montrerai ce que j’ai fait plutôt que de dire “Et je vais faire si et je vais faire ça et regardez et attendez attendez, je voulais plus jouer ce jeulà.” Et vous savez, j’ai été élevé comme ça. J’ai pas été élevé par mon père. Je ne je ne je n’ai pas vraiment de de père, mon père biologique. J’ai été élevé par mon beau-père qui a joué ce rôle, qui est quelqu’un d’absolument génial, qui est un viticulteur et quelqu’un qui m’a enseigné ça plutôt que de parler fait. Un homme est jugé par ses faits. C’est la chose la plus importante qui m’a enseigné en plus de la discipline et l’importance du travail et de l’honnêteté. Parce que les gens de la terre, si tu es pas honnête et tu travailles pas dur, ça fonctionne pas. J’ai eu cet enseignement-là et je le remercie au travers de cette vidéo qui regardera pas parce qu’il a plus de 60 ans et les réseaux sociaux, il en a rien à faire mais il est euh je lui ai fait un discours à mon mariage pour ça. Il est le l’un des facteurs numéro 1 de ma réussite et de ce pourquoi j’en suis là. J’ai son enseignement dans ma tête chaque jour euh qui est de arrête de parler et fais. Et c’est ce que j’ai essayé d’appliquer pendant ces longs mois. Pendant ces 5 mois, quel a été ton plus gros défi ? Honnêtement, c’est mental. Mon plus gros défi, ça a été mental. Le premier ça a été de croire en moi à nouveau parce que ça fait tellement de fois depuis 7 ans. Déjà ma dernière compétition, elle s’est très mal passée puisque j’étais disqualifié à cause de la gyastti alors que j’étais au centre de la scène tout le long de la compète et que j’étais persuadé jusqu’à la dernière seconde de gagner et on m’a mis dernier. Donc déjà c’était dur à incaisser, c’était au Pays-Bas. Suite à ça, j’ai plus fait de compète mais j’ai voulu c’est-à-dire que j’ai réessayé plusieurs fois. J’ai même pris un coach, par exemple, j’avais pris Palumbo, je lui avais payé l’année 1200 dollars d’un coup. Au final, j’ai fait 6 semaines, j’ai arrêté et il a gagné grâce à moi 1200 dollars. Mais c’était de ma faute, vous voyez. J’avais plus cette discipline, cette trigueur et tout. Il y avait toujours quelque chose à travers de ma route. Et en fait quand j’ai commencé, je me suis dit, voyez, j’avais ce truc en tête. Ouais, de toute façon, est-ce que tu vas aller jusqu’au bout ? Donc c’était ça le plus dur de croire en moi. De là où je partais, en plus, je me suis dit qu’est-ce que ça va donner ? Alors oui, j’ai toutes mes connaissances. toute mon expérience, il y a Morgan avec moi. Mais voilà, c’était quand même ça qui était dur de croire en moi et puis comment j’allais réussir à concilier parce que je vous parle des 7 ans mais il y a 7 ans, je suis un gars célibataire qui vit chez lui qui a aucune horaire, qui a pas d’enfant qui a pas de femme qui a pas de d’employés qui a pas de société qui qui a son compte. C’est facile comme ça. C’est enfin c’est facile. Mais là il faut tout concilier. Je peux pas sacrifier mes enfants, ma femme euh le boulot. et tout ça, j’ai des vraies responsabilités, des crédits, des choses à assumer et et la difficulté c’est ça parce que le bodybuilding pour moi c’est autour rien et je suis quelqu’un d’extrême. C’est ça mon problème. Je ne sais rien faire à moitié ni à 80 %. C’est soit je fais les choses à 200 % soit je ne les fais pas et c’est un gros problème dans ma vie. Même quand je joue à la console, si je me mets à jouer à FIFA tout de suite je me dis je vais devenir un joueur pro, je me mets à 200 % et si je perds un match en ligne, je pète un câble. Vous voyez, c’est trop. Je joue, je fais un jeu avec vous, je veux tout de suite être le meilleur et d’ailleurs j’en arrive à un stade où des fois je fais même si un truc je sais que je vais pas gagner du départ que je peux pas, je le fais pas. Vous voyez, j’ai cette mentalité là et c’est pas bien d’être comme ça parce que ma femme me dit souvent tu prends du plaisir dans rien. Tout ce que tu fais, tu prends pas de plaisir. Même je regarde un match de foot, faut que je parie. Faut que je fasse des paris sur Winamax. Petite pub à eux. J’adore leurs émissions le midi. Du coup, je dois désinstaller l’appli. Vous voyez, je suis comme ça dans tout et c’est contre ça que j’ai dû lutter et c’était ça le plus dur, le mental, le psychologie, de me contrôler, de changer là-dessus. Vraiment, ça a été le plus difficile et de croire en moi. Et tout ça pour finalement pas faire de compétition. Tu peux nous dire pourquoi on avait dit qu’on en parlait pas. Du coup, tu fais pas de compétition. Non. Qu’est-ce qui t’a poussé à continuer ta transformation ? En fait, c’est exactement ce que je disais au début. Je n’ai jamais réussi à avoir la discipline, à faire de la musculation, à suivre la diète pour autre chose que la qu’un but de compète. Et là, ça a été très différent. C’est-à-dire que j’ai retrouvé ce qui me manquait et j’ai réussi à évoluer sur tous les plans. Et en fait, ça m’a donné un mindset différent. Et je me suis dit aussi que c’est le la chose qui me manquait. C’est-à-dire que mon business marche très bien, le coaching ça marche très bien et tout, mais il manque quand même le fait d’être un modèle, d’être une source d’inspiration. C’est-à-dire que je dis aux gens tous les jours, “Faites comme si, faites comme ça” et je le faisais plus moi-même. Alors attention, j’avais toujours une hygiène alimentaire supérieure à 90 % des gens, un physique supérieur à 90 % des gens lambda. Mais je peux pas me permettre de me comparer à ces gens-là. Là où j’en suis, au bout de 17 ans, avec toutes les connaissances, le savoir que j’ai, mon métier, c’est transformer les autres. Je suis pas capable de me transformer. Moi je suis pas capable d’avoir cette rigueur, cette autodiscipline là. Non, c’est pas normal. C’est pas normal. Je devrais être capable d’être bien au-dessus de ça et de me motiver avec ça, de vous motiver avec ça, de vous emmener avec moi, de vous donner plus finalement. Et j’ai trouvé j’ai trouvé de la motivation là-dedans, là où avant j’en avais pas. Et je me suis dit bah la compétition c’est pas une finalité en soi, ça me donne un but à atteindre. Mais je peux trouver d’autres buts à atteindre pour vouloir devenir meilleur, pour pouvoir évoluer, pour vouloir progresser. Et c’est ce que j’ai fait. Je l’ai transposer à un autre objectif, à un autre but. Et ça m’a permis de continuer. Ça me permet de continuer et finalement j’ai jamais été aussi motivé que maintenant. Je suis aussi motivé qu’à l’époque quand j’étais très jeune et je me disais je vais devenir Mister Olympia et je vais ressembler à Jack Hutler. Et je suis heureux de ça. Je suis heureux d’avoir réussi à retrouver cette flamme parce que cette autodiscipline que j’ai euh dans la diète, l’entraînement, le quotidien, bah elle se retranscrit forcément dans tout. Vous êtes obligé d’être organisé à 200 % pour faire tout ce que j’ai fait. Et donc bah c’est bien pour les enfants, pour la famille, pour le travail, pour tout psychologiquement. Ça me fait tellement de bien, tellement de bien d’en être là et d’être en phase beaucoup plus aujourd’hui avec moi-même et avec ce que je devrais. [Musique] [Musique] [Musique] Maintenant, je vais vous amener avec moi au cœur de cette transformation. Pendant ces dernières semaines, j’ai réfléchi au meilleurs moyens de pouvoir vous transmettre mon savoir, mon expérience et ma motivation. C’est la raison pour laquelle j’ai décidé de lancer le plus gros projet de mes 14 années de travail, le programme Fat Killer. Au cours des prochaines semaines, vous allez découvrir en détail mon entraînement, ma diète, mes compléments alimentaires parce qu’on vous a tout filmé, on vous a tout montré. Vous allez avoir ça gratuitement sur YouTube, mais vous allez aussi pouvoir rejoindre le programme Fat Killer. Que vous soyez un homme, une femme, vous aurez tout de détaillé. Des entraînements 100 % adaptés à vous, une diète 100 % adaptée à votre poids du corps avec des équivalences, des recettes, toutes mes connaissances fondamentales sur la diète, sur l’entraînement, tout ce qui vous permettra à vous aussi de vous transformer, d’obtenir votre meilleure physique. Bien sûr, pas facilement, pas en claquant du doigt. Il vous faudra de la rigueur, de la motivation, de la discipline, mais c’est le meilleur moment pour vous lancer. Pourquoi ? Parce que avec toutes les vidéos qu’on va vous faire et le programme Fat Killer, vous rejoignez une communauté, vous rejoignez une aventure, pas un éème ebook ou un éème programme. Vous aurez tous les outils, la motivation mais vous serez avec moi. On va le faire ensemble au cours des 12 prochaines semaines. Alors, le programme Fat Killer, c’est dès maintenant. Dès la semaine prochaine, la vidéo sur la diète va sortir ici dimanche 18h sur YouTube. Je compte sur vous et je vous attends nombreux pour participer à cette incroyable aventure que va être Fat Killer. Let’s go ! [Musique]