Aujourd’hui, j’ai l’immense privilège de recevoir une véritable légende du journalisme sportif français.

Pendant près de 40 ans, il nous a fait vibrer au gré des événements sportifs les plus marquants de notre époque contemporaine, notamment à travers ses interviews bord de terrain devenues cultes.

Des courts de tennis aux greens de golf, en passant par les patinoires, il a accompagné certains des plus beaux moments de l’histoire du sport français et couvert pas moins de 15 Jeux Olympiques, été comme hiver.

Dans cette vidéo nous allons parler de la cérémonie des JOs Paris 2024, de ses interviews mythiques, de sa pièce de théâtre avec son ami Candeloro, et même de son admiration pour le général de Gaulle !

Souvent imité, jamais égalé… j’ai l’honneur d’accueillir NELSON MONFORT !

🔔 Abonnez-vous pour ne rien manquer des prochains portraits et découvrir d’autres parcours inspirants !

Suivez-moi sur Instagram: / portraits_de_panache

Suivez moi sur Tik Tok: / portraitsdepanache

Si vous souhaitez soutenir mon travail, j’ai créé une cagnotte Tipee, tous les dons son permis 🤩: https://fr.tipeee.com/monsieurhika

Qu’est-ce que ça à voir avec le sport ? Qu’est-ce 
que ça à voir avec les Jeux Olympiques ? La tête   sanguinolante de la reine, qu’est-ce que ça 
à voir avec les JO ? Ensuite, je poursuis parce que j’ai quasiment ça encore en tête. Oui, 
Thomas Jolie m’invitera à prendre un verre après. Salut à tous, bienvenue sur Portrait 
de panache. Aujourd’hui, j’ai l’immense   privilège d’accueillir l’une des plus grandes 
légendes du journalisme sportif français. Après près de 40 ans de carrière, il nous a 
fait vibrer au gré des événements sportifs les   plus marquants de notre histoire contemporaine, 
des grein de golf au cours de tennis en passant par les pattin noirs. Il a accompagné les plus 
beaux moments de l’histoire du sport français,   notamment au travers de ces interviews bord du 
terrain qui sont devenues cultes, longtemps imité, jamais égalé. J’ai l’honneur d’accueillir Nelson 
Montfort. Bonjour Nelson. Bonjour Ra. Bonjour à   vous tous. Merci beaucoup d’avoir accepté mon 
invitation sur portrait de Panach. Merci pour cette très jolie introduction. Je vais je vais 
essayer d’en être digne là pour le coup. Alors   moi ça me fait en plus extrêmement plaisir parce 
que pour mettre dans le contexte, cette chaîne, elle existe depuis 3 ans et initialement j’avais 
créé cette chaîne pour aller à la rencontre   des personnes qui avaient fait une reconversion 
professionnelle dans leur carrière et il s’avère que peu de gens peut-être le savent mais vous 
avez commencé votre carrière par finir science po et ensuite partir aux États-Unis dans une banque 
Bank of America pour finir finalement journaliste sportif. Et j’aimerais avoir un petit peu juste la 
jeunesse de cette carrière de journaliste. Comment   vous êtes passé de l’un à l’autre ? C’est vrai 
que c’est un itinéraire assez original. Euh oui, c’est qu’en sortant donc de de de Science Po 
effectivement et puis d’une maîtrise en droit,   bon il faut préciser que c’était pas hier, 
c’était plutôt avant-hier, même avant avant-hier, il y avait il y avait pas autant de chômage 
qu’aujourd’hui. Il y avait des vraies possibilités   d’emploi pour les pour les diplômés de ce qu’on 
peut considérer comme comme une grande école. Et donc voilà, les possibilités qui pouvaient être 
offertes notamment avec ce côté franco-américain   que j’ai toujours eu en moi, euh c’était 
voilà, c’était le pays me faisait rêver, le pays me fait toujours rêver à quelques 
nuances près, mais je suiv mon regard mais mais en revanche le le travail là-bas ne me faisait 
pas rêver. Et donc c’est à ce moment-là que je me suis dit mais est-ce que je veux faire de ma 
vie, de tout ça ? Je respecte beaucoup tout ce   qui est travailler dans la finance et cetera, dans 
l’administration et sans doute mais moi c’était pas pour moi. Et donc c’est vrai que donc je suis 
revenu en Europe tout d’abord en Belgique puis en   France et et c’est là où j’ai commencé vraiment à 
frapper à des portes et et pour faire court je je connaissais absolument personne. Non seulement 
je connaissais personne mais en plus il y avait   beaucoup beaucoup moins de médias qu’il y en a 
aujourd’hui. Il y avait pas de site internet, il y avait il y avait pas de radio FM, il y 
avait il y avait trois chaînes de télévision   qui une sorte de forte Nox inaccessible. Et voilà 
et j’ai commencé à frapper aux portes timidement puis avec après avec un peu plus de confiance 
jusqu’à ce que certaines d’entre elles se sont   ouvertes. Très bien. Mais alors cette chaîne, elle 
s’appelle portrait de panache et pour moi de nulle part aller toquer à des portes et dire bah voilà 
moi je fais de la finance mais j’aimerais plutôt travailler dans la télévision, je trouve que 
c’est une forme de panache. Alors disons que   disons qu’au départ c’était pas la télévision. Au 
départ, j’ai commencé à par ce qu’on appelle la presse écrite, les magazines des journaux, 
pas n’importe quel journaux, le le Figaro,   le quotidien de Paris, le puis des magazine comme 
Montagne magazine, j’ai toujours été passionné de montagne et puis Histoire, historia, j’ai 
toujours été passionné, passionné d’histoire et et puis après j’ai eu mon premier disons recrutement 
disons, on va dire à pleintemps à Tennis Magazine   qui était à l’époque un magazine qui enfin qui 
tenait le haut du pavé en matière de tennis. euh une garçon qui s’appelait Jean Couverel 
qui m’avait qui m’avait recruté. Ça ça a été   mon premier, on va dire travail euh plus ou moins 
à pleintemps. Hm hm. Et c’est là al je sais pas si c’est du panache mais mais c’est là où euh où 
je pense qu’il a fallu faire preuve d’un certain   courage parce que je bon j’ai travaillé pendant 
je crois 2 ans 2 ans et demi à pleintemps à Tis Magazine et j’aurais pu y rester toute ma carrière 
et c’était pas rien hein. C’était envoyé spécial à Wimbledon envoyé spécial à l’open d’Australie 
New York Flushing Medow et cetera. les plus grands   tournois, comme j’avais une plume euh correcte 
et que je faisais en plus des interviews pour la presse écrite des grands champions, euh ça se 
passait vraiment très très bien. Et c’est moi je   dis mais bon, j’aime beaucoup le tennis soit mais 
j’ai pas envie de faire ça toute ma vie. Et c’est c’est et là j’ai quitté volontairement un travail 
à pleintemps. C’est c’est pas hein euh pour devenir ce qu’on appelle PJ. Évidemment, j’avais 
un petit peu plus de d’expérience et cetera. Les là où je toquais aux portes, elle s’ouvrait un 
petit peu plus. Oui, mais là aussi il a fallu   quand même faire preuve, je pense, d’un certain je 
pas dire pâche, ça serait un peu ça serait un peu prétentieux mais en tout cas je pense d’un certain 
courage. Oui. Ouais, c’est mais c’est même assez   avantgardiste d’une certaine manière parce que à 
cette époque-là, quitter un travail à temps plein, ce qu’on appelle aujourd’hui un CDI, c’était 
pas très accepté. C’était alors qu’aujourd’hui   on est nos générations, on est peut-être un peu 
plus libre entre guillemets professionnellement. Oui, d’autant que je l’ai quitté sans sans 
aucune espèce d’indemnité puisque puisque   je je quittais de moi-même. Mais je pense que 
si si bon dans tout itinéraire professionnel, on il doit faire des choix. Là, je pense que l’un 
des meilleurs choix que j’ai fait c’est celui-là   parce que plus il fallait le faire là parce que 
plus ça allait, moins moins moins de chance il y avait. Mais la télévision à l’époque ne me faisait 
pas ne me faisait pas vraiment rêver. C c’est plus tard que je suis rentré à la télévision. Et 
est-ce que vos études supérieures vous ont aidé   dans cette nouvelle carrière ? Ça c’est ça c’est 
une c’est une bonne question parce que disons que bon évidemment en maîtrise de droit, je je 
j’apprenais le le droit de procédure romaine d’il y a 2000 ans. Effectivement effectivement c’est 
c’est oui, c’est c’est difficile de trouver un   point commun avec le le coup droit de Raphaël 
Nadal. Mais mais je pense qu’en revanche le raisonnement le raisonnement que l’on apprend en 
faculté que ce soit en droit en plus on dit que le   droit mène à tout. Alors moi j’en suis j’en suis 
aussi si le droit mène à tout moi j’en suis la la l’exemple parce que c’est vrai que voilà je 
ne suis pas du tout devenu avocat encore moins procureur et autres. Donc oui je je pense que le 
raisonnement la faculté d’apprendre à raisonner m’aide enfin m’a aidé je l’espère dans dans mon 
itinéire professionnel. En revanche, les études   que j’ai faites à Sciencep qui étaient basées 
sur les rations internationales à l’époque, il y avait trois sections à il y avait économique et 
financière, service public était la grande section et puis donc relation internationale et puis 
économique et financière. Il y en avait quatre.   Euh là euh là c’est vrai que là ça m’a beaucoup 
aidé parce que aujourd’hui les langues étrangères, les relations internationales et cetera, même 
si c’est le sport à la télévision, tout ça est   intimement. Oua et puis on reconnaîtra tous votre 
accent iconique en anglais qui vient aussi. Je ne me force pas trop. C’est ma c’est c’est ma 
langue à la fois paternelle et maternelle. Oui,   parce que donc votre père était américain, votre 
mère néerlandaise, vous êtes bien informé et donc je et fils unique, je j’étais fils unique et mes 
par mes parents pardon parlaient anglais entre eux   à la maison. Donc autant dire c’est pour ça que je 
vous dire que c’est ma langue à la fois paternelle et maternelle. Aujourd’hui, je peux vouloir dire 
sans sans être prétentieux que je suis vraiment   euh totalement bilingue. Ça ça c’est certain. 
un peu trilingue avec l’espagnol et tout mais en plus j’ai j’ai l’accent quand quand je parle 
anglais avec un accent américain mais ça ça m’est   venu dès le dès le plus jeune âge des des 34 ans 
comme ça. Alors par contre moi ce que j’apprécie particulièrement c’est que vous avez souvent 
dit en interview que vous aviez un amour pour la   langue française et que c’était important quand on 
habitait dans un pays de connaître parfaitement et d’utiliser parfaitement la langue du pays. Et je 
trouve ça je trouve ça bien parce que c’est vrai   qu’aujourd’hui la langue française est peut-être 
un peu moins maîtrisée qu’auparavant notamment chez les jeunes. Vous quand vous dites un peu, 
vous êtes quand vous dites un peu, vous êtes vous êtes gentil. I Oui, je souvent on me dit oui, 
c’est formidable. Tu parles plusieurs langues, c’est comment fais-tu ? Et c’est à cette question 
que je réponds bien volontiers que je pense que   la plus la plus la responsabilité numéro 1 d’un 
communicant qui que ce soit à l’écrit ou à l’oral, c’est de bien s’exprimer et de bien écrire dans la 
plus belle langue qui soit. En tout cas, parce que   moi en tout cas, je je trouve que c’est enfin 
parmi l’une des plus belles langues qui soit, c’est-à-dire la nôtre. C’est certain. Ouais, sans 
aucun je je pense Ouais. Vous êtes vous êtes Oui.   Non mais c’est vrai, c’est vrai. Je c’est le le 
français le français bien parlé, bien exprimé, bien écrit est une langue tout simplement 
magnifique et pour laquelle laquelle je respecte infiniment. Oui. Et alors du coup évidemment ça 
me fait un peu ma transition parce que vous avez   commencé votre carrière un petit peu donc je vais 
dire votre carrière olympique à Barcelone en 1992 si je ne dis pas de bêtises et vous l’avez terminé 
2024 à Paris. Ouais. Qu’est-ce que vous qu’est-ce   que ça vous a fait au bout de donc 15 15 Jeux 
Olympiques de finir à Paris donc chez vous et quand même pour une session qui a été finalement 
assez mémorable malgré les petites inquiétudes   qu’on peut avoir au début. Alors déjà lorsque 
j’ai commencé au jeu de Barcelone 92, je ne me souviens même pas si j’étais encore titulaire à 
100 % que la télévision c’est il y a les strates,   on rentre pas directement comme ça en CDI selon 
l’expression consacrée. Donc j’avoue que je je me souviens plus exactement mais je n’imaginais alors 
certainement pas en faire 14 derrière. Je je hiver a été confondu parce que le fait qu’il soit de 2 
ans en 2 ans évidemment a accéléré mon mon rythme mais maintenant donc effectivement je crois que 
là c’est je encore une fois je veux pas paraître prétentieux mais je crois que c’est un assez joli 
itinér je crois je vais pas j’ai pas vérifié mais   je pense pas qu’on doit être si nombreux comme 
journaliste en France à avoir suivi 15 jeux olympiques. Ça c’est certain. C’est pour ça que 
j’ai publié d’ailleurs un livre qui s’appelle   Mémoires Olympiques où je parle justement de tous 
ces tous ces souvenirs qui sont des souvenirs merveilleux. Oui, j’imagine. Et alors donc c’est 
ces J de Paris donc j’avais écouté une de vos interviews juste avant les JIOS et il y avait 
des petites inquiétudes, on en avait tous bien   évidemment sur la sécurité, sur la gestion globale 
et cetera. Qu’est-ce que vous en pensez maintenant que c’est terminé ? Bah un an, un an après, il 
faut quand même reconnaître que c’était une très   très belle réussite à quelques nuances près dont 
une pour moi très importante, c’est la la c’est la menu d’ouverture. Pas pas pas dans dur presque 4 
heures, ce qui est d’ailleurs beaucoup trop long,   mais pas pas pas pendant 4 heures. Il il y a eu 
des jolis moments, mais il y a eu des moments, je pense, dont on aurait pu largement se 
dispenser. Et ce qui me ce qui me frappe et je   pense que vous serez d’accord avec moi à coup ICA 
Ikar Ikarou parce que j’adore votre pays en plus. Euh non non, je je j’adore votre pays. Euh euh 
c’est que bon en général euh 1 mois 2 mois après, on passe à autre chose mais là 1 an après, enfin 
un an et 2 mois après, on en parle encore de cette   fameuse cérémonie d’ouverture. Donc ça veut bien 
dire en tout cas si les organisateurs avaient pour but euh qu’elle soit un peu controversée, 
qu’elle soit un peu clivante et cetera,   là ils ont réussi. Là ils ont réussi. Mais bon, 
telle n’était pas votre question. Peut-être qu’on va y revenir, mais concernant les les jeux 
eux-mêmes, euh oui, c’est une très très belle   réussite. Bien évidemment, vous allez sourire, 
mais quand vous en sécurité, vous avez raison, mais quand quand on met des forces de police à peu 
près tous les 50 m, il y a effectivement de bonnes bonnes chances que il y a pas trop de souci. Oui, 
voilà. Voilà. Effectivement, on pouvait sortir   notamment la piscine à Lu Arena à la défense 
que vous connaissez à je pas on sortait à 23h sans sans aucun problème en fraternisant avec les 
autres spectateurs et tout. Je ne suis pas sûr que là en ce moment on puisse sortir à minuit, qu’une 
femme seule veuille se promener sur voilà sur les dalles de la défense à minuit. Voilà. Donc voilà. 
Mais encore une fois là en l’occurrence pour cette   cérémonie c’était c’était une bon cette cérémonie 
pardon pour ces jeux c’était c’était très très bien. Ouais. Et et la cérémonie qu’est-ce qui 
vous enfin on n’est pas obligé de de d’épiloguer là-dessus mais qu’est-ce qui vous a dérangé ? Ah 
bah il y a il y a beaucoup de choses qui m’ont   il y a beaucoup de choses qui m’ont dérangé et 
je vais vous dire c’est drôle parce que euh là apparemment il y a un an il fallait dire tout est 
formidable c’est extraordinaire c’est disruptif   c’est il y a des nouveaux adjectifs dans la langue 
française. Je je écoutez j’ai pas tout en tête mais ce qui m commençons par le commencement la 
cérémonie s’élance devant la cathédrale de Notre   Dame. Il est nullement il est pas question une 
se de Vict ou vous vous vous le dites vous-même de Victor Hugo. Ensuite, on arrive devant la 
conciergerie avec la tête de Marie-Antoinette   décapitée. Je vouis je vouis faire vous faire 
l’amour. Attendez, il y a des enfants de 5 6 ans qui regardent. Qu’est-ce qu’on leur dit ? Une tête 
sanguinolante et est-ce que et alors et ça c’est   la première chose. La de qu’est-ce que ça à voir ? 
Qu’est-ce que ça à voir avec le sport ? Qu’est-ce que ça à voir avec les Jeux Olympiques ? La 
tête sanguinolante de la reine, qu’est-ce que   ça à voir avec les J ? Ensuite, je poursuis parce 
que j’ai quasiment ça encore en tête. Encore ? Thomas Jolie m’invitera à prendre un verre après 
ça. Non, en plus je l’ai rencontré. Franchement   le type, il est vraiment très sympa mais je sais 
pas, je pense qu’il a dû épouser son temps. Alors peut-être que je ne suis pas de ce temps-là mais 
quand on voit effectivement le dernier repas avec   des drag queen je vois pas très bien ce que ça 
peut apporter, quel rapport avec le sport. Quand on voit, j’ai l’impression que vous êtes de mon 
avis mais 80 mais ik 90 % des gens semblent être de mon avis. C’est pas la première fois que 
je m’exprime là-dessus. Quand quand on voit   euh Ayan Nakamura contre laquelle je n’ai rien 
mais quand elle sort de l’Académie française, je je elle a beaucoup de talent. Elle elle elle 
chante devant des milliers de personnes. Donc   ça veut dire qu’elle étitant mais je ne pense pas 
qu’elle a qu’elle fréquente assidument l’Académie française. Je je voilà les gardes républicains 
qui se ridiculisent en faisant une sorte de danse   de singui et cetera. Il y a beaucoup beaucoup 
de choses qui et ce qui me gêne s’il y a un point commun là-dedans. S’il y a un point commun 
là-dedans, c’est quel rapport est-ce que ça a avec   le sport ? Alors la fin en revanche c’était très 
bien quand on voit Riner Nadal ça c’est parfait Céline qui chante depuis la tour Effel alors 
qu’it pas chanté depuis 3 ans. C’est parfait   je me serais dispensé de certains autres artistes 
en playback mais enfin voilà oui il y a quand même ça fait quand même beaucoup de choses quoi. Le 
reste la pluie ça par contre c’est une malchance   ça c’est personne n’y est pour c’est comme ça mais 
voilà mais le fait est finalement en tout cas je je me répète peut-être un peu si les organisateurs 
voulaient qu’on en parle encore un an après et ben là ils ont réussi parce que je pense pas que vous 
vous souveniez des la cérémonie d’ouverture des   jeux de Rio par exemple que j’ai pourtant commenté 
je bon donc voilà donc donc ça ça le paris est réussi je pense qu’il y a probablement je vais 
surprendre personne il y avait une dimension politique Mais est-ce qu’il y a pas toujours une 
dimension politique aussi dans les Jeux Olympiques   pas autant que ça. Je pense que je je d’ailleurs 
comment ça ça c’est ça c’est il y avait pendant 2 mois le passage de la flamme en France. Bon 
là aussi il y a des relayeurs qui étaient un petit peu on va dire controversé. Voilà c’est ça. 
Voilà c’est ça. C’est c’est c’est un tout mais voilà c’était c’était certainement le but. Ah oui 
Pierre j’ent Oui, je savais qu’il y avait encore   une chose à dire. On porte hommage aux femmes 
méritantes. Ça c’est une super idée. Marie Curry, tout ça c’est une super idée. Où était Jean 
Dark ? Où était Jean Dark ? Elle est trop   con. Jean Jean Dark. Jean Dark, c’est quand même 
la sainte de c’est la sainte de la France. C’est sainte Jean Dark, bien sûr. Sainte Jean Dark qui 
a qui a libéré de de la France des dujou anglais et et qui est qui est brûlé comme une sorcière 
à 19 ans à à Rouan. Mais on me dit que Jean Dark a été récupéré par l’extra. Mais qu’est-ce 
qu’est-ce que sont qu’est-ce que c’est que   ces histoires ? Mais pourquoi ? Qui qui qui qui 
a décidé que je je je c’est c’est inimaginable. Jeanne Dark est récupéré par récupéré par aussi il 
est récupéré. Donc aujourd’hui on dit même que le drapeau français bleu blanc rouge est récupérer 
là-dedans parce que j’ose j’ose penser que c’est encore une minorité. Là on pourrait en parler 
des heures mais voilà je pense que puis pas bon je général de Gaulle n’existe pas Napoléon 
n’existe pas Louis X n’existe pas. Non mais on   peut continuer assez longtemps. C’est quand même 
des personnes qui ont marqué l’histoire de France. Euh enfin voilà Molière racine les grands 
écrivains, je c’est quand même des des enfin oui, je veux pas faire tout pas faire toute l’interview 
là-dessus mais voilà mais c’est intéressant mais quatre de ce que je peux savoir c’est qu’une très 
grande majorité de personnes sont d’accord avec ce que nous sommes parce que j’ai l’impression 
que vous êtes un peu de bon mais je n’en doute   pas c’est évident mais c’est vrai que moi ça 
me ça me pose question sur en effet cet aspect politique parce que j’observe Et donc j’avais une 
question assez importante à vous poser. En fait,   j’observe que euh que ce soit donc Mexico 68 et 
les les Black Power, que ce soit Munich 72 et les euh l’assassinat de de sportif d’adégation 
israélienne, l’interdiction de la Russie de participer en 2024, mais l’URSS aussi dans les 
années 80, même 1936, euh il y a toujours eu une dimension très politique aux Jeux Olympiques. 
Et en fait, moi la question que je me pose,   c’est est-ce que le sport peut être un instrument 
de paix ou ça a toujours été finalement une forme d’outil de propagande ? Enfin, et vous qui êtes 
vraiment dedans dans ce milieul-là, qu’est-ce que   vous en pensez ? Euh, alors malgré mon grand âge, 
je n’étais pas encore là à Berlin Berlin 1936 mais mais je me je me suis intéressé à l’histoire des 
J depuis 1896 où Pierre de Coubertin a réinstauré. Alors déjà, la première, il y a toujours, vous 
avez raison, il y a toujours eu des polémiques   qu’ell soi politique ou géographique ou ou 
sexuelle, par exemple, les femmes n’étaient pas autorisées, je veux pas dire des bêtises, jusqu’en 
je crois 1948, vous imaginez ? Je crois c’est à   peu près au même moment où ils ont obtenu le droit 
de vote. C’est pas si vieux que ça. C’est pas si vieux que ça. Donc je il y a tout et alors après 
effectivement, vous avez bien fait de le préciser,   il y a eu des des rels politiques très importants 
et aujourd’hui c’est vrai que c’est vrai que les Jeux Olympiques, c’est oui, c’est c’est pas je 
dis pas parce que ça rime, mais c’est aussi des   Jeux politiques, ça c’est certain. Ah j’en 
ai l’impression. Puis même les géants euh de du de ce monde ont toujours voulu avoir une 
représentation forte lors des Jeux Olympiques. Les Chinois quand ils ont eu les Juo en 2008, il 
y a eu plor de médailles et de champion et le but c’était de battre les Américains. Et finalement 
aujourd’hui quand on se pose vraiment la question,   je pense qu’il y en a qui sont qui s’en fichent 
et qui qui ne veulent pas en fait rentrer dans ce dans ce jeulà. Mais quand on observe et qu’on 
prend un peu de recul, c’est finalement plus   difficile de suivre le sport parce qu’en fait on 
a l’impression plutôt de suivre l’actualité poli raison. D’ailleurs, vous avez tout à fait raison. 
On peut ajouter vous savez à l’époque on va dire   au sortir de au sortir de la guerre du quand 
tu le rideau de fer et cetera, l’URSS que vous az cité plus tous les pays satellites disons du 
pact de Varsvie la DDR enfin le RDA Allemagne de l’AS c’était c’était un le sport était vraiment 
un outil de propagande. D’ailleurs, il y a des   dossiers de la Stasie qui sont sortis là il y a il 
y a quelques années où notamment la la vous vous en souvenez sûrement la patineuse est allemande 
Catarina Vit était espionnée par la stasie en   permanence. On a même été jusqu’à dire que elle ou 
en tout cas son entraîneur Uta Müller pouvait être peut-être une informatrice de la Stasie. Donc tu 
tout ça tout ça et effectivement lorsque il y a eu les jeux à Moscou 1980 boycottés par USA plus 
un certain nombre de puissances occidentales, c’était effectivement une une comment une sorte 
de de propagande à à tous les niveaux et et en 84 lorsque le pays du pact de Varsville ont 
boycotté les jeux de Los Angeles en rétorsion de voilà en ripostant donc si je peux dire ça a 
été pareil là c’était plutôt la propagande du du   des pays occidentaux donc oui effectivement les 
Jeux olympiques sont une épreuve sportive mais aussi et peut-être même surtout une épreuve 
de propagande. D’ailleurs, il me semble que   Vladimir Poutine a voulu créer les JO de Alors là 
là si vous voulez là là c’est une autre question. Aujourd’hui les sportifs russes sont alors moi je 
vous retourne la question. Aujourd’hui certains sportifs russes sont interdits d’autres ne le sont 
pas. Expliquez-moi pourquoi en tennis par exemple Medvedev qui bon qui est un peu rétrogradé mais 
qui a été numéro numéro 2 ou numéro 3 mondial de   tennis peut jouer tous les tournois qu’il veut 
ou roublef et cetera sans parler de Sabalenka Biélorussie mais associé aussi numéro 1 ou 2 
mondial et que les athlètes, les nageurs, les patineurs les patineurs si vous vous excluez les 
patineurs d’un championnat du monde de patinage ce championnat n’a clairement plus de valeur. C’est 
c’est c’est comme si vous excluez, trouvez-moi, je sais pas, c’est comme si vous c’est comme si 
vous excluez. Oui, voilà. Les Américains du basket ou les Brésiliens du football. Voilà, c’est ça. 
Non, ben c’est vrai que le bâtinage artistique de de cette émission. Non, mais ça ne va pas. Donc 
donc voilà. Et pourquoi alors moi je moi je veux bien que qu’on m’explique mais là il y a aucune 
explication. Certains peuvent, d’autres pas. C’est cette explicationlà me semble la mais ou 
mais oui mais par exemple le football en russe je crois pas je crois pas ils n’y sont pas donc 
championnat d’Europe coupe du monde et cetera, ils n’y sont pas euh l’athlétisme alors l’athlétisme 
natation écoutez l’an dernier donc oui c’est encore l’an dernier la France a terminé je crois 
à 6 ou 7e au classement total des médailles s’ils étaient 6e si vous mettez la Russie on est 7e ça 
c’est sûr hein si on est 7e on est 8 ça c’est une   certitude. si voulez euh voilà ça et et et et 
de faire payer des sportifs à la politique euh du cremelin, les sportifs disons pour rien. 
Comme d’ailleurs les musiciens, les danseurs, les ends les les danseurs les danseurs russes et 
les meilleurs du monde. Vous c’est c’est à l’âge   de 18 20 ans qu’ils sont pas quand ils auront 
35 ans. Je trouve ça d’une je trouve ça vraiment vraiment d’une d’une très grande cruauté. Si on 
est éliminé d’une épreuve, on y participe, on est   éliminé ou on est battu au 2è tour et c c’est mais 
si on ne peut pas y participer, c’est vraiment d’une Et encore une fois ça n’a ça n’a aucun sens 
ça. En quoi est-ce que ça va changer quoi que ce   soit ? Donc oui, là c’est vrai que c’est quelque 
chose qui ne me qui ne me plaît pas du tout. Je comprends. Mais c’est vrai que cette dimension 
politique finalement, elle ternit un petit peu   le monde du sport comme l’argent. Bon, ça on 
a pas besoin de pareil d’épiloguer là-dessus. on le sait notamment dans le football et moi qui 
suis plutôt fervant supporter de rugby, je trouve que ça commence progressivement aussi à h à se 
à se voir. Est-ce que vous gardez quand même un certain espoir ? Parce que je sais, j’avais vu une 
interview, alors je suis pas journaliste mais j’ai   fait mon travail de journalistique et donc j’ai 
j’ai vu une interview, il me semble, sur Europin et vous parliez d’une anecdote pendant les JO 36 
où donc Owens, l’Américain donc noir américain euh qui a donc raflé plusieurs médailles, avait été 
aidé par l’athlète allemand. Ouais. qui s’appelait qui s’appelait Luts Long. langue d’ailleurs non 
prédestinée pour son en longueur et d’ailleurs   c’est intéressant parce que Owens avait déjà 
trois médailles d’or et mais la 4e c’était la plus difficile aller chercher le son en longueur et 
effectivement Luts Long est en tête du concours et et Owens je crois de mémoire enfin de mémoire de 
ce que j’ai pu lire mort ces deux premiers essais vous savez il mort il mort voilà et donc et vient 
lui vient lui donner des conseils sur les pas vous savez sur la course des langs et cetera et grâce 
à ces conseils au dernier essai langue Comment Owens va au-delà des 8 m, bat le record du monde 
et obtient la médaille d’or olympique. On est à la barbe non pas de langue qui parce que ils avaient 
vraiment fraternisé. Il y a une photo magnifique,   on les voit les deux. Euh et je trouve ça Ouais, 
ça je trouve que c’est une image olympique, enfin une image de vie tout simplement parce 
que tout ça se passe devant 36000 dans 36 devant peut-être 70000 spectateurs tout acquis à la 
cause de Longue, n’est-ce pas ? Euh et donc oui, je trouve que c’est je trouve que c’est d’une 
noblesse et d’un courage extraordinaire. Et   d’ailleurs Lang hélas est décédé quelques années 
après, pendant la deuxième guerre mondiale sur le sur le front italien. Il avait même pas 30 
ans. C’est Etwens est resté fidèle à la mémoire   de l’angle toute sa vie jusqu’à là jusqu’à sa 
mort. Oui, c’est c’est sont des histoires. Oui, c’est vra rien que d’en parler, je Ouais, c’est 
très très émouvant. Et peu de gens ça on dit ouais sur mais quelquefois il faut être deux 
pour faire Ouais, bien sûr. Ouais. Ouais. Bah,   il y a souvent des images aussi de courses 
longue distance où euh le premier un malaise, je me souviens, de deux frères euh britannique 
il me semble et le premier à un malaise à je sais pas 30 m de l’arrivée et c’est son frère qui 
le porte et qui arrive à je pourrais retrouver, je le mettrai au mon Ouais. C’est est-ce que 
vous pensez que en fait le sport mine de rien, derrière la politique, peut quand même essayer 
d’apporter quelque chose d’insufflé, quelque chose   comme ça de fraternel ? Et je pense par exemple 
à la Coupe du monde, alors peut-être pas celle de 2018 mais celle de 98 où pendant plusieurs mois 
la France a été un peu plus fraternelle et un peu plus fédératrice ou fédérée. Je pense que 
les grands événements organisés dans un pays, ce que ce que vous dites sur le mondial 98, c’est 
revu quand même pour les go 2024, je veux dire, c’est c’est peut-être un temps peut-être un peu 
moins parce que oui, parce que là, il y avait oui,   peut-être peut-être que le sentiment national joue 
encore plus dans sport d’équipe comme le football que dans les sports individuels comme la comme la 
natation ou l’athlétisme, que sais-je. Mais oui,   c’est vrai. Mais c’est vrai. Oui, absolument. 
Je pense que c’était effectivement le le ce que la France avait offrir de meilleur que cette et 
je dirais pas avant indépendamment du résultat,   c’est c’est le résultat aidé à ça mais c’est 
vrai que il y a eu il y a eu c’est vrai cette forme de fraternisation mais mais 98 
j’ai l’impression que c’était un autre   monde. C’était il y a c’était au siècle dernier. 
C’était un autre monde. C’était un autre monde. Et alors vous qui avez vécu quand même 
et qui nous et qui nous avez fait vivre   euh tant de euh de moments iconiques du sport 
français, est-ce que vous pensez que aujourd’hui vous avez un successeur qui serait capable 
comme ça de marquer euh le public ? Alors, je sais que le journalisme sportif a changé 
puisque’il y a l’avènement des réseaux sociaux,   il y a quand même beaucoup plus de chaînes de 
sport aussi. Comment vous voyez un petit peu l’avenir du métier ? Ce que vous ce que vous venez 
de dire c’est exactement ça c’estàd qu’elle est   pas moi je suis un peu comment un peu mi-chemin 
la transition entre les géants de de l’époque qui était alors vous êtes trop jeune pour l’avoir 
connu mais Léon Zitrone c’est sans doute un   nom qui vous dit quelque chose comment non ça vous 
dit rien mon Thierry Roland Robert Chapat oui mais Citron c’est à peu près la même la même époque 
hein donc c’était un peu des des voilà Roger Couer qui commentait le rugby Pierre Albalade des 
il beaucoup donc ça c’était à l’époque il y avait deux chaînes, peut-être trois mais dont 
une seule faisait à peu près le sport, les   autres aujourd’hui et moi j’ai connu cette cette 
accélération, cette ce développement énorme et notamment des chaînes aujourd’hui il y a il n’y a 
pratiquement plus de de vedettes de présentateurs   ou de commentateurs. Il y en a quelques-uns mais 
mais beaucoup moins forcément à partir où vous multipliez le nombre de chaînes, vous multipliez 
le nombre de visages et forcément parce que les   visages dont je vous parle c’est ils étaient il 
y en avait peut-être quatre ou cinq honnêtement je je n’exagère pas en plus les 11 trôes vous 
verrez de qui il s’agit qui a déjà un physique   énorme et cetera en France à l’époque dans les 
années 60 70 était aussi connu que le général de Gaulle je n’exagère pas Ouais je n’exagère 
pas vraiment en plus il commentait et il était   russe donc il commentait le le tout ce qui était 
relation avec la politique internationale. avec la Russie et cetera. Il était soit ami avec Breu. 
Enfin bon, j’ai pas vérifié mais voilà. Non mais c’était cette époque là. Ensuite, il commentait 
le patinage, il commentaiit le les journaux,   il commentaient les courses, il commentaient les 
mariages royaux, il commentaient interville, il faisait tout. Citrone vouit tous les jours enfin 
pratiquement tous les jours. Il avait un physique   énorme. Donc c’est vrai que cette génération 
là n’existe plus. Maintenant bon moi c’est vrai qu’avec certains autres, j’ai eu j’ai un peu fait 
cette transition. Hm hm. Maintenant aujourd’hui, il y a quand même des jeunes journalistes, que ce 
soit garçons ou filles qui qui je pense sont sont des très dignes successeurs, mais qui par la force 
des choses ont moins d’impact parce qu’ils sont moins suivis que que j’ai pu l’être à une certaine 
époque. Alors moi personnellement, je connais   pas forcément de commentateur et journalistes 
sportifs actuels. J’ai dû en voir pas évidemment, mais je veux dire, j’ai pas suivi autant que 
j’ai pu vous suivre quand j’étais plus jeune.   Mais je me pose quand même la question, est-ce 
que aujourd’hui les journalistes qu’on voit à la télé ne sont pas un peu trop lisses pour sortir du 
lot comme ça pouvait être ça pouvait être le cas ? Alors aujourd’hui effectivement le le comment 
l’avènement des réseaux sociaux que j’appelle   parfois fléociaux a fait qu’effectivement tous ces 
tout c’est comment standardisé et qu’aujourd’hui le moindre le moindre écart le moindre c’est 
l’un des plus grands cinéastes français c’est Michel Audiard qui qui a eu des des phrases des 
films avec Gabin Ventura, Bernard Bli et cetera c’était merveilleux et cetera mais aujourd’hui 
ben Michelard serait quasi embastié Je c’est c’est donc et pourtant et pourtant l’esprit français, 
il est là. L’esprit français, la langue française dont on parlait il y a quelques minutes permet 
justement une grande liberté de ton, une grande une grande un grand humour, je veux dire, je 
Mais oui, pour répondre à votre question, oui,   c’est aujourd’hui tout est devenu plus beaucoup 
plus et hélas hélas beaucoup plus lisse qu’avant. Il faut la fameuse expression tourner sep fois sa 
langue dans sa bouche. Certement parce que vous   pensez que un un Montfort Candaluro c’est encore 
possible à la télé ? Non parce que ça existe sur les planches. On va mettre la just Oui. Oui. Alors 
ben justement c’est cette pièce alors c’est c’est très sympa à vous d’y faire allusion. Euh alors 
juste mais mais il y a un lien, il y a un lien,   c’est que quand nous avons commencé cette quand 
nous avons commencé pardon cette pièce de théâtre qui s’appelle donc Sapatin à Tokyo, que vous 
avez la gentillesse présenter sur votre antenne,   euh le lien c’était précisément ça, c’est que 
dans cette pièce, c’est une pièce de théâtre, donc c’est une fiction euh dans le cadre 
d’un championnat du monde de patinage,   il rève tout un tas de tout un tas de péripéties 
et c’est très très drôle les deux jeunes auteurs là euh comment Hugo Kremaski, Julien Grange ont 
parfaitement su capter nos personnalités et je les en félicite et je les en remercie. Et là nous nous 
sommes entourés dans toute la France, nous partons   même dans quelques jours à Tahiti. C’est vous dire 
comme disait le président Chirac, c’est beau mais c’est loin. C’est typiquement ça. Mais je bon Titi 
c’est la France he c’est la Polynésie. Donc euh d’ailleurs c’est plus proche de votre pays que que 
que d’ici je pense c’est plus proche de Tokyo que   de Paris. Ouais, bien sûr. Mais comment euh le 
le et je pense qu’effectivement c’est une bonne remarque aujourd’hui dans cette pièce, nous avons 
une grande liberté de ton qui malheureusement n’était était un peu un peu plus cadré lorsque 
nous commentions. J’ai du mal à dire au passé parce que j’ai l’impression que c’est pas si 
vieux mais voilà, c’est c’est ainsi. C’est ainsi   et pourtant et pourtant les téléspectateurs et les 
téléspectatrices adoraient bon ce que vous dites concerne peut-être un petit peu plus Philippe 
que moi, mais moi j’étais totalement solidaire   de ces fameuses candorettes qui m’enchantait et 
qui enchantait pareil 90 ou peut-être même 95 % du public seulement. Ce sont ces 5 % comme dans 
l’histoire de la cérémonie. Quand je dis 5 %, c’est peut-être même 1 % mais ce sont eux 
qui aujourd’hui vous savez aujourd’hui peu de personnes décident du goût de grand d’un 
grand nombre de personnes. C’est pareil en   matière de programmation de chansons. Moi, je 
suis très attaché à la chanson française mais la chanson française d’avant. Je veux pas dire 
que tout ce qu’on entend aujourd’hui est nul mais   je veux dire que de ne plus programmer George 
Brassins, Jeanferra, Charles Trainer, Barbara, George Mouaki, je peux en citer même Bekoasnavour 
qui nous ont quitté un peu plus récemment. J’ai on les entend plus du tout. Qui décide qu’on 
entend plus ces immenses artistes ? Les mêmes qui font la cérémonie. Et bien mais mais oui mais oui 
mais oui mais vous avez raison. Je pense en tout cas. Oui oui voilà je pense que c’est ou et moi ça 
me fait plaisir de parler avec vous parce que vous   êtes bon évidence un tout petit peu plus jeune 
que moi et et et nous semblons partager et je parle souvent avec des jeunes de votre âge et même 
plus jeune que parce que bon j’ai un spectacle   sur justement sur Jean Ferrin un autre sur George 
Brassin j’aime bien aller à la rencontre du public au terme de ces spectacles. Il y a souvent des 
jeunes, les parents, peut-être les grands-parents   ont emmené leurs enfants ou petits-enfants 
mais ils aiment mais ils aiment à condition de connaître si on connaît pas les rien. On peut pas 
les écouter. Après il y a une il y a quand même   une petite mouvance qui est on va dire attachée à 
l’histoire française et à la tradition française et qui essaie de promouvoir cette cette variété 
française dans dans dans les chansons, mais aussi dans le patrimoine et cetera. On s’en est parlé 
juste avant, mais moi je suis assez proche de pas mal d’influenceurs qu’on dit de patrimoine et eux 
voilà sur les réseaux sociaux, ils accumule quand   même une certaine communauté entre 100 et 300000 
abonnés, ce qui n’est pas négligeable et voilà, ils vont voir des restaurants, des artisans, 
des commerçants français de région,   pas seulement à Paris et ils essayent aussi de 
de pousser un petit peu sur les réseaux sur la toile. Mais mais tout est lié. Vous vous me parlez 
un petit peu un petit peu de la France d’avant. Mais ben oui, mais moi aussi je suis un passionné 
de patrimoine et cetera. Mais d’ailleurs les   émissions qui concernent le patrimoine et cetera 
sont souvent très suivies hein, les les comment sur l’histoire et cetera. Donc j’ai il y a 
encore un public pour ça mais à condition de leur programmer ce qu’ils aiment et ce qui enfin 
je veux pas je vais pas faire trop long là-dessus   mais c’est moi je suis vrai souvent assez choqué 
du fait que très peu de personnes semblent décider du goût de de de beaucoup beaucoup de beaucoup 
beaucoup de personnes. Et vous, ça vous a jamais   tenté de de faire des émissions un peu comme 
Stéphane Bern d’aller d’aller parler de Alors, pour ça pour ça il faut qu’il y ait une comment 
il faut qu’il y ait une réciprocité. C’est pas   faute d’avoir proposé. C’est le le seul problème 
autant autant je suis très heureux d’avoir fait on va dire l’essentiel de mon itinéraire d’angénisme 
de sport. Euh autant on est assez vite catalogué. C’estàd que voilà lui jiste de sport et cetera, 
il commente le football. J’ai jamais commenté le   football mais on pense que voilà mais très souvent 
ah c’est formidable ou c’est formidable votre commentaire de football. J’ai jamais commenté le 
football mais enfin voilà mais tout ça mais donc   non mais ça veut dire que voilà je suis enfin je 
suis et d’autres catalogué ou mis dans une case de de juris de sport. Moi j’ai j’ai des grands grands 
souvenirs de qu’on parlait des jeux olympiques il   y a quelques minutes et cetera. J’ai des grands 
grands souvenirs de ça mais c’est vrai que à un moment donné c’est vrai que j’aurais souhaité 
aussi faire autre chose. Ça failli se faire.   Ouais, ça failli se faire. J’ai failli devenir 
correspondant euh de correspondant à l’étranger, notamment à Washington. J’avais j’avais des 
critère pour ça. J’avais la langue, j’avais   j’avais tout ça et cetera. Et puis bon, au dernier 
moment, voilà, ça a un peu capoté mais voilà, je je regrette pas mais je pense et peut-être 
j’en suis l’exemple avec d’autres qu’on peut   s’intéresser à d’autres choses qu’uniquement à 
la suur dans les vestiaires. Donc voilà, je je vo c’est peut-être aussi la raison pour laquelle 
vous vous m’z gentiment convié. Bah bien sûr,   mais est-ce que l’arrivée sur les planches c’est 
pas aussi un renouveau et un changement un petit peu de perspective finalement ? En tout cas, c’est 
un c’est une aventure, c’est une jolie aventure qui dure maintenant depuis 1 an, 1 an et 3 4 mois 
qui nous permet d’aller à la Il y a deux choses,   vous parlez de géographie tout à l’heure. Euh 
un, ça nous permet de découvrir la France, y compris des endroits. Par exemple, si je vous 
dis Saint Vulbas, je suis pas sûr que spontanément   bon voilà, alors ça c’est c’est dans l’un c’est 
le côté de Bourcambrass si vous voulez. Mais donc on arrive à Saint-Vulbass au mois de mars 
dernier, tempête de neige, moi j’avais jamais   entendu parler de cette petite ville. J’ai tempête 
de neige, on l’ soir à 20h, il va y avoir personne archi plein 500 personnes. Pourquoi ? parce que 
ces personneslà n’ont pas tellement l’occasion   de sortir en archi plein. Et c’est pour ça que 
j’adore bon alors nous avons joué des conditions météorgiques plus favorable dans dans bien 
d’autres endroits mais d’aller à la rencontre   de parfois de petites villes voir même de villages 
sa ville basse c’est plus ou moins un village. J’adore ça j’adore ça parce que les gens qui 
viennent nous voir sont des gens que je respecte   infiniment qui sont souvent écartés voire méprisés 
et je j’emploie ce terme à juste titre par la critique parisienne. Nous jur avec notre pièce de 
théâtre, on aura jamais les les se d’or de Telama.   Ça on les aura jamais. Mais en revanche, on a 
les se d’or du public et et s’il faut choisir, c’est c’est la plus belle récompense. C’est 
sûr. En plus, ça doit vous faire une différence.   Finalement, toute votre carrière de journaliste, 
vous avez vous avez évidemment été à côté des sportifs, mais le public était derrière l’écran. 
Vous les aviez pas forcément en face et là,   vous vous retrouvez vraiment à 1 m de votre public 
et ça doit vraiment être une autre sensation, une autre sensation. C’est oui, c’est c’est c’est 
une sensation magnifique. Je mon mon modèle dans cette profession, enfin mon mentor, on va dire, 
était quelqu’un qui s’appelait Jacques Chancel.   Peut-être avez-vous entendu parler de lui. Il 
faisait des émissions formidables, le grand échiquier, le radioscopie sur France Interre. 
C’est lui qui avait vraiment été mon atouche, c’est mon menteur. C’est en tout cas, c’est lui 
qui m’a le plus aidé. Et puis moi je j’adorais son   contact, un homme d’une culture extraordinaire. 
Mais je disais pour pour réussir en tout cas, pour essayer de réussir dans ce métier, 
il fallait aimer les gens. aimer les gens,   c’estàdire aller vers les gens. Moi, je ne fais 
pas de politique, je ne demande pas leur suffrage, mais je leur demande leur suffrage de cœur. Et ça, 
c’est vrai que je l’ai enfici tout à l’heure. Vous avez vu mon photographie dans la rue. Moi moi je 
je moi je suis très heureux de ça. Surtout que je   demande rien en retour. Juste juste qu’ veulent, 
c’est un sourire et ça je suis très heureux. C’est pour ça que j’aurais pas pu faire de politique 
parce que le ce qui est parfois l’absence de   sincérité de la politique ne m’aurait pas malgré 
des sollicitations nombreuses. C’est vrai ? Ouais. Ouais. Ouais. Vous avez le droit d’en parler ici 
ou pas ? Non, je préfère je préfère m’abstenir   mais voilà des sollicitations nombreuses notamment 
lors des dernières élections législatives. Entre le moment où nous enregistrons cette émission 
et le moment où elle sera diffusée, peut-être   qu’il y aura eu d’autres d’autres élections, je ne 
sais pas des dernières qui étaient donc on sort, je comprends mais parce que finalement la 
politique vous l’avez aussi côtoyé sur les   terrains de golf de ce que j’ai enfin sur les les 
greines de golf de ce que j’ai compris parce que vous avez quand même finalement été je sais pas 
si c’est ami le mot mais vous avez été en relation   quand même avec certains hommes politiques de 
toute nation d’ailleurs. Oui, je je dans enfin j’ai établi par green interposé une certaine une 
certaine complicité avec le président Mitteran. Si c’est ça que vous voulez me faire dire. Oui, j’ai 
une très jolie anecdote avec qui m’a été racontée par Jacques Aelli. Alors Jacques Atelli était le 
bras droit voilà. Et donc lorsqu’il y a eu la la guerre du golf, c’était en 91 Ouais, c’est ça. 
Voilà, en janvier 91, c’était assez sérieux he les pays de la coalition avec les États-Unis. 
Bon bref et donc il y avait des réunions de   crise à l’Élysée et le samedi soir nous avions une 
émission qui s’appelait l’heure du golf donc que j’animais qui donc présentait là il y a plus de 
30 ans. Il y a 35 ans. Le golf est pas venu était pas ce que c’est venu aujourd’hui. Et donc dans 
cette émission, voilà, je développais l’actualité,   les tournois, on présentait quelques parcours 
et cetera. Et ce que j’avais appris, ce que ce que François ce que Jacques ATL m’a dit, c’est que 
François Mitteran suivait parce qu’il était joueur de golf, suivait régulièrement cette émission. 
Et un soir, c’est quand même drôle ça, un soir au pire moment de la de la guerre du golf, un samedi 
soir que le C et compagnie Mantan interrompt le con, il était minfin. Oui, ce qu’il faut préciser 
c’est que l’émission, il y a une anecdote sur   cette émission mais déjà je vous raconte la fin 
de l’histoire est passé à 23h30 un samedi soir. On peut pas dire que ça ça pulvériser l’audience 
et pourtant mais je vous raconter l’anecdote   après. Mitteran donc interromp le le conseil des 
ministres je sais pas de défense bien. Il dit bon écoutez là pour l’instant on vient de parler 
pendant toute la journée de la guerre du golf.   Je vous propose d’aller regarder l’heure du golf. 
Donc c’était la l’émission sur France 3 à minuit. Bon naturellement ce genre d’anecdote en plus 
raconté par Jacqu donc je sais qu’elle est vraie.   Euh fait fait évidemment très plaisir. Non, mais 
la raison la raison pour laquelle ça va vous faire rire euh c’est une émission le l’heure du golf 
passe le samedi soir à 23h30 sur France 3. C’est pas avec c’est pas avec ça qu’on va pulvériser 
l’audience. Et pourtant, je regardais la courbe d’audience, ça commençait assez bas puis ça ne 
cessait de monter. Donc là, il était quasiment   minuit. Ouais. Parce que le programme suivant 
c’était la série rose. La série rose qui était la série un petit peu gentiment érotique gentiment 
érotique sur France 3 à minuit. Donc du coup la cour d’UD ben oui parce que les gens arrivaient 
vers minuit moin 10 pour se mettre sur regarder la fin de l’heure du golf. Enfin, ce genre 
d’anecdote, mais ce sont des anecdotes délicieuses   et et ça ça reste un souvenir pour moi, enfin des 
souvenirs formidables. Ouis. Hm. Et vous le sport, une carrière dans le sport, ça vous a jamais tenté 
? Parce que j’ai pas je je la la conclusion que je   veux que je tire de tout ça, c’est que le sport, 
c’est quand même plus facile de le commander que de l’exécuter. Voà parce que donc j’ai durant mes 
recherches, j’ai compris que vous aviez été en   internat assez jeune. Vous faites peur avec vos 
recherches. Vous vous connaissez plus de choses sur moi que moi. Je suis aussi dans le KGB. Non 
mais c’est vrai que vous alors on est souvent assez critique en France parce que on fait pas 
assez de sport étant jeune. On n pas un système   comme le système anglo-saxon ou d’autres pays 
européens où le sport est vraiment prent dans la vie. C’est ça. C’est où on fait à partir de 
13h30 l’après-midi, on fait du sport. Ici à 13h30 l’après-midi, les les enfants retournent à l’école 
avec des cartables de de 5 6 kg. Ah c’est du sport he c’est de la musque. Oui enfin c’est pas Non 
mais là là enfin je le temps qui nous est imparti   ne permet pas de développer ça mais ça s’il y a 
Oui. Je vous dire une chose s’il y a il se trouve c amusant parce que j’étais il y a pas longtemps 
il y a pas longtemps du tout à à comment à viire   en Normandie pour la journée des associations 
et Elisabeth Borne ministre de l’éduc éducation nationale était là. J’ai beaucoup parlé avec elle 
et j’ai voyez en parenthè très gentil c’est très différent quand on est la porte de son ministère 
ou quand on est parce qu’elle est député du   Calvellos très gentil vraiment adorable et je dis 
voyez pas appelez-moi Élisabeth bon jeppisabeth je voyez s’il y a un poste qui qui m’aurait plu au 
sein d’un gouvernement c’est celui-là ministre de   l’éducation nationale tout part de là tout part 
de là sans aucun doute. ministre de l’éducation nationale parce que ça englobe tout. Ça englobe 
ça englobe aujourd’hui, ça englobe hier avec la cour d’histoire et cetera. Le patrimoine dont 
on parlait mais ça englobe évidemment demain.   Ça englobe la culture, ça englobe tout. Ça c’est 
un poste qui m’aurait plu. Mais bon avec avec tous les fonctionnaires et cetera qui sont dans c’est 
je pense que c’est complètement sclérosé. Mais ça ça c’est un joli poste l’éducation nationale, ça 
oui, ça oui. Et donc pour en revenir à voilà et bien qu’est-ce qui se passe ? et Pays-Bas qui est 
un pays beaucoup plus petit que la France a obtenu   je crois plus de médailles de que la France au au 
JOI ouais je crois que je crois Paysbas était 5 ou 6e juste devant nous ou à peu près comme nous 
enfin voilà c’est vrai qu’il y a des sports en France qui sont un peu qui récoltent moins de 
médailles que d’autres notamment le tennis ça fait quand même bien longtemps qu’on n pas 
eu des tennismans français tennis français   catastrop alors que Roland Garos c’est quand 
même iconique c’est dommage queon pas plus de de champions là-dedans. Mais alors vous en tant que 
ministre des paris que là on sort, je précise en fait que ça ça ne se fera jamais. Donc voilà, je 
je vous alle demand mais c’est un poste c’est un poste vousz j’en parle avec beaucoup de comment de 
ferveur. C’est un poste qui à condition de d’avoir les mains un peu libres m’aurait plus. D’accord. 
Dans une autre vie. Et alors est-ce que on va vous revoir quand même à la télé et sur des événements 
sportifs ou est-ce que vous avez tiré un trait sur   cette carrière ? Je pense qu’on on peut pas tirer 
un trait définitif déjà comment il y a donc à peu près un an lorsque se sont terminés les Jeux 
olympiques olympiques puis parollympique je me dis bon qu’est-ce que je vais avoir de mieux ? 
Je je je termine sur des jeux d’ailleurs beaucoup d’athlètes notamment français pas seulement 
français ont terminé sur un cycle olympique.   Qu’est-ce que je vais avoir de mieux ? Je vais pas 
faire des interviews à Land Garo jusqu’à l’âge de 80 ans. Ça n’aurait pas de sens. Je donc je je 
vais voilà je vais je vais je vais je vais tirer révérence là. Alors je dire qu’ en plus France 
télévision a été vraiment tout s très bien passé.   J’ai j’ai j’ai vu trop de comment dire je je veux 
pas être désobligeant vis-à-vis d’eux mais j’ai vu trop de mes confrères vous savez faire un peu le 
combat de trop s’accrocher et cetera. Ça, je ne   voulais pas. Ça je ne voulais vraiment pas. J’aime 
bien l’expression partir quand il fait beau. J’aime bien cette expression partir le visage 
haut. Et le fait est que dès le lendemain ou le surlendemain, j’ai commencé à de mémoire, j’ai 
quitté France Télévision à 30 septembre et le 1er ou 2 octobre, j’enregistrai la première émission 
de vivement dimanche au côté de Michel Drucker où   je suis encore puisque je on repart on repart 
en tout cas pour pour un an un an après Michel Drucker géant de la télévision pour la télévision 
voilà nous avons la dernière émission nous avons reçu Hugo Fry Hugo Frey a 96 ans et c’est un jeune 
homme Je vous promets, il est grand, il est beau, il est s, il est il a toute sa tête, il a il a 
il a l’œil, il a le l’audition, il entend bien, il voit il conduit sa voiture, il a pas 86 96 il 
a des projets de tournée pour les 2 ans à venir. Mais ça c’est un exemple. Donc ça veut dire que 
donc c’est Hugo Fred n’est pas quelqu’un qui a pris sa retraite bien sûr, il est toujours là 
et il fait le plein dans les concerts. Il fait   le plein dans le concer et ça pour moi c’est un 
exemple. Moi alors évidemment j’ai un peu ralenti, ralenti oui et non parce qu’entre cette 
pièce de théâtre, cette émission plus pas   mal de projets avec notamment l’ami Philippe où 
nous allons commenter, là je peux pas trop dire mais nous allons commenter ensemble les Jeux 
Olympiques d’hiver de Milan Cortina en PZO   en février prochain euh sur un grand média. Euh 
voilà donc je je ça va bien. Je je et puis j’ai des projets dans le théâtre, c’est déjà dit. J’ai 
des projets également de tournage au cinéma et à la télévision. Au cinéma ? Ouais. Ahouis, j’ai 
déjà tourné dans quelques films notamment l’un qui a eu beaucoup de succès, les baudines que 
vous voyez de qui il s’agit les baudines. C’est   cette humour un peu humour un peu campagnard. Si 
si a Maria et son fils Maria la vieille un peu acariatre et son fils un peu bon tourné dans les 
bodins sans féli ça a été une merveille et là ils ont de nouveau un quelque chose pour moi dans l’an 
prochain. Magnifique. Alors on arrive je crois à   la fin de l’interview. J’avais une dernière 
question de temps pas 8 en votre compagnie ce qui est bon signe qui est une bonne chose ça 
me rassure. Et alors voilà c’est encore issu de de mes recherches. J’ai quand même une phrase 
qui m’a Vous êtes vous êtes le colombo du une phrase qui m’a marqué dans une de vos différentes 
interviews. L’adulte que vous êtes devenu ne doit pas trahir l’enfant que vous étiez. Vous étiez 
quel enfant monsieur Monf ? C’estàd que que je le le oui la phrase exacte c’est ça. L’adulte que 
je suis devenu n’a pas trahi l’enfant que j’étais. C’est pas drôle parce que j’ai j’ai prononcé cette 
phrase de façon un peu anodine mais à l’évidence   elle a bah vous en êtes la preuve, elle a été pas 
mal reprise parce que et pourtant je l’ai prononcé vraiment comme ça. Euh oui parce que je pense 
que quand on est quand on est jeune, quand on   est enfant, on a un certain nombre de rêves et ces 
rêves, je les ai bon évidemment c’est pas à 100 % ça n’existerait pas de dire ça, mais j’ai j’ai 
en tout cas j’ai tout fait pour les accomplir.   Et il y a un certain nombre de de comment d’étapes 
dans ma vie où le chemin tracé n’est pas celui que j’ai emprunté. Et donc je vous ai parlé là quand 
j’ai quitté Tennis Magazine pour quelque part   pour un grand point d’interrogation, quand j’ai 
quitté la banque Vamaca pour un encore plus grand point d’interrogation. Il fallait quand même un 
certain courage, n’est-ce pas ? Donc de de voilà, peut-être peut-être euh et donc de ça au moins de 
ça au moins, je suis je suis assez fier. Ouais, magnifique. Et moi, je suis très heureux de vous 
avoir accueilli Nelson. Alors, c’est le moment   promo là. Vous pouvez nous parler un peu de votre 
pièce. Où est-ce qu’on peut vous voir ? Jusqu’à quand ? Alors, le 4 le 4 octobre dépendant 
de la la date de parition de cette émission, nous serons à jouer les tours donc à côté de tour. 
Puis alors, j’ai pas toutes les dates en tête mais   nous nous irons à Digne les Bains également 
au mois de décembre, novembre, décembre. Nous irons un Chalon sur sa il y a il y a beaucoup 
il y a beaucoup de villes. Il y a à Barleduc. Je les ai pas toutes en tête mais et puis alors je 
à Tahiti à Tahiti du enfin une dizaine de jours au moins de c’est beau mais c’est loin ça voilà mais 
là je suis évidment très heureux et et à chaque fois là nous avons joué à MGV là au mois d’août 
dernier bon bien sûr c’est les vacances et ceter mais enfin il faut quand même remplir une salle on 
a ajouté une on a ajouté une bonne cinquantaine de   places dans la salle parce queil y avait pas assez 
de place donc ça fait extrêmement plaisir donc bien sûr vive le rire vive la liberté et et cette 
pièce de théâtre nous nous en donne l’occasion. Magnifique. Et si vous aviez alors ça je pose 
cette question un peu à à mes invités, mais si vous deviez me donner une personne qui vous a 
vraiment inspiré et qui vous a montré une forme   de panache, est-ce que vous serez capable de m’en 
donner une comme ça spontanément ? Pour la France, je vous citerai le général de Gaulle parce que 
oui parce que et je dirais même je dirais même   le général de Gaulle. Bon, tout le monde connaît 
sonitinéraire à Londres en 40 et cetera, mais moi où le moi le général de Gaul qui me touche le 
plus, c’est que c’est quand il a été euh quand il   a été mis en minorité sur un sur un référendum que 
lui-même avait poussé et qui est parti, je trouve, avec une dignité extraordinaire. Mais je conseille 
à à vos téléspectateurs, à vos auditeurs de de se rendre à Colombet, donc qui est son village 
là pour le coup euh où où il y a c’était un écrivain rien que pour ça, il aurait serait resté 
dans l’histoire rien que pour ses écrits. Et il y a chaque étape à Colombis il y a des extraits 
de de ces livres qui sont remarquables. Je ces châteaux brillants. Franchement, je je voilà. 
Donc ouais, je dirais Ouais, je dirais je dirais général de B. Ouais. Magnifique chers amis, voilà 
le tournage touche à sa fin. Moi moi je suis très heureux d’avoir pu accueillir Nelson Monfort 
cette légende du sport français. J’espère que ça vous a plu. Vous connaissez Laurangen. Likez, 
commentez, partagez, faites connaître un petit peu   cette émission au plus grand nom et puis je vous 
revois très vite dans Portrait de Panache. Coucou.

2 Comments

Write A Comment