Chaque vacances scolaires, le Parc équestre fédéral donne rendez-vous aux cavaliers de clubs de tout âge, pour une semaine de découverte et perfectionnement de disciplines auprès des experts fédéraux. 👩🏫
En février, les cavaliers ont pu découvrir le TREC avec Laurence Denis, l’équifeel et le travail à pied avec Toni Capoulade et le pony-games avec Julien Brun ! ❄️🐴
Comment se déroulent ces journées de stage ? En quoi la présence d’un expert fédéral fait-elle la différence ? Plongez dans les coulisses avec ce reportage.
Rendez-vous en août pour la prochaine session ☀️
Le parc équestre ouvre au club pendant les vacances. Le principe surtout, c’est pour faire de la découverte de disciplines non olympiques. Les stages club, ça fait un petit temps qu’ils sont pratiqué afin de pouvoir montrer euh aux poney et aux chevaux le parc fédéral, les mettre dans des conditions différentes. Ça permet au cavalier aussi de rester ensemble pendant une semaine et créer de la cohésion dans l’équipe. Puis on nous offre l’opportunité de pouvoir avoir des intervenants. Et j’ai toujours le plaisir de venir parce que j’aime bien faire partager une discipline que j’aime et que je connais depuis longtemps. Et pour moi, c’est un plaisir d’essayer de la faire partager aux autres enseignant et puis de la faire découvrir aux cavaliers et de leur donner quelques peut-être l’envie de continuer et d’aller découvrir la discipline. En plus, les infrastructures sont formidables et on a toujours un très bon accueil de la part des cavaliers, des coachs et de l’équipe fédérale en général. On a profité de l’intervention en équifil. L’avantage du travail à pied, c’est d’avoir un regard différent que quand on se trouve sur le poney. Le but premier de l’équipil, je pense que c’est d’apprendre au cavalier à lire son cheval, à avoir une autre approche de liquidation qu’uniquement lié liquitation montée. Je pense que les deux sont très complémentaires. La qualité de l’intervention nous a permis en fait de comprendre certains comportements des poneis et donc de pouvoir trouver des solutions à certains comportements qui peuvent être gênants dans notre discipline. Toutes les problématiques de cavalier en selle, on arrive à les identifier au sol. Ça a permis aux enfants de prendre le temps de se concentrer sur le travail du poney à pied. Ça va nous permettre de d’attirer leur attention sur leur posture, sur leur façon de de se comporter avec le cheval, de de trop le solliciter ou au contraire de trop l’abandonner. On cherche des réponses vraiment très construites, très fortes, très motrices de la part du cheval. L’idée, c’est de leur faire découvrir la discipline du TREC. Donc je mets des dispositifs qui sont spécifiques qui ne rencontrent pas dans d’autres disciplines et puis j’essaie de leur faire aborder chaque dispositif avant de leur proposer un petit enchaînement, un petit parcours, quelque chose de ludique et qui leur donne envie de découvrir et peut-être envie de continuer après. Pour initier les les enfants Pony Games, on va travailler l’esprit d’équipe, l’autonomie pour les pour les jeunes. Donc on va rester sur des jeux basiques comme le slalom, les deux tasses, les jeux de drapeau. On n’est pas vraiment obligé de se pencher. En général, j’ai un bon retour sur la découverte. J’essaie de faire quelque chose d’un peu ludique et les gens viennent un petit peu chercher ça aussi. C’est un petit peu un moyen de changer, de faire varier le travail des chevaux aussi de la cavalerie. L’année d’après, ils reviennent parce que même s’ils en font pas, au moins ça leur change et même la cavalerie, ça leur a plus. [Musique]
