⚠️ Les 5 plus GROS PIÈGES de l’ALIMENTATION

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🔥 Dans cette vidéo, je vous parle des 5 plus gros pièges que l’on retrouve dans l’alimentation en générale. Que ce soit dans les rayons de nos supermarchés afin de nous faire plus consommer. Ou bien dans nos placards et frigos, de petites habitudes qui bloquent complètement notre perte de poids voir dégrade notre santé.

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Ce petit bonhomme, ce petit bonhomme, je regarde. Bonjour à tous, bienvenue comme chaque dimanche 18h pour une nouvelle vidéo. Aujourd’hui, on va se retrouver pour un épisode un petit peu particulier hors série des analyses de diète, des différents groupes musculaires que l’on est en train d’étudier. On va reprendre cette série avec Morgan en sal. Ne vous en faites pas parce que je pense qu’il est important de faire un point global sur les différents pièges de l’industrie agroalimentaire mais aussi et surtout de votre alimentation, les pièges dans lesquels vous pouvez tomber qui font qu’aujourd’hui vous pouvez avoir des problèmes de poids ou de composition corporelle. C’est-à-dire au-delà d’avoir un poids qui ne vous convient pas, d’avoir une apparence qui ne vous convient pas, de par exemple ne pas être en surpoids mais d’être relativement gras, de ne pas arriver à perdre les dernières graisses qui vous restent parce que au niveau de l’alimentation, vous faites des mauvais choix. Beaucoup de gens disent “Je fais attention mais pourtant je ne maigrais pas. Je fais attention mais regarde, lui ou elle a une meilleure apparence physique que moi alors qu’il ne fait pas attention.” Et en fait, c’est parce qu’on ne se rend pas compte, on a beaucoup d’idées reçues au niveau de l’alimentation parce qu’on ne reçoit pas de vraie éducation à ce niveau-là. Euh à l’école, que ce soit en école primaire, au collège, au lycée. On a aucun cours réel sur l’alimentation. On ne sait pas comment bien s’alimenter, soit pour perdre du poids, en prendre ou être en bonne santé. Et donc on n’ pas de réell connaissance, ce qui fait qu’on fait un petit peu avec ce qu’on entend à droite à gauche, à la télé, sur les réseaux sociaux et on ne sait jamais qui est un vrai spécialiste parce que bien souvent ceux qui s’expriment à la télévision et bien ne sont pas les meilleurs. Il faut dire ce qu’il en est parce que à la télévision on invite beaucoup par Piston, parce qu’on connaît un tel parce que voilà quand on vient pas déjà du centre de Paris en général, on n’est pas invité à s’exprimer à la télévision. Qu bien des réseaux sociaux comme nous encore moins. On voit bien comme les youtubeurs pourtant très célèbres ont mis du temps à se faire une place dans les émissions télé, à être invité et à ne pas être décrédibilisé, hein. Vous avez eu de nombreux exemples. Donc euh le monde a du mal à évoluer à ce niveau-là. Et donc les connaissances sur l’alimentation, bien qu’on ait de plus en plus de contenu, ont du mal à se généraliser. Je parle vraiment des connaissances de base. Je vois très peu de gens aujourd’hui qui sont capables de lire une étiquette nutritionnelle correctement, de savoir ce que sont des lipides, des glucides, des protéines, à quoi ça sert précisément, voilà, au-delà des calories et d’aller à l’encontre des idées reçu. Je vous parle pas dans une optique d’optimisation, de suroptimisation comme on peut être quand on veut faire une transformation physique ou quand on veut vraiment faire de la compétition. Je parle de choses basiques que vous pourriez enseigner justement à vos enfants ou à votre entourage pour optimiser la santé et éviter plein de problèmes divers de santé parce que l’alimentation ça peut aider sur les maladies chroniques, ça peut aider sur la gestion des maladies autoimmunes, sur les problèmes de diabète, sur les problèmes cardio-vasculaires et cetera et cetera. autant de problématiques qui sont au cœur euh de nos problèmes en France, en Europe, dans le monde en général, de notre problème de santé qui coûte cher notamment à l’État parce que quand on prend pas soin de soi et qu’après on doit se faire soigner, bah ça nous coûte cher à nous tous. Et donc en fait, je trouve que éduquer sur l’alimentation et tous faire plus attention et être en meilleure santé, bah c’est bien pour soi mais aussi pour le bien commun en fait. C’est bien pour nous tous, pour la société en général et notamment pour nos enfants. Donc je pense qu’il est important de faire un point là-dessus. Ça ça va de mon rôle. Quand je fais du contenu sur YouTube gratuit. Je gagne pas ma vie avec les réseaux sociaux, je gagne ma vie avec le coaching. Voilà pour vous dire YouTube ça me rapporte, je vais être honnête avec vous, entre 250 et 500 € par mois. Sachant que les vidéos de faire ces vidéos, c’est pas moi qui les tourne, c’est pas moi qui les monte. Ça me coûte deux à trois fois plus cher, juste YouTube. Voilà, vous voyez, c’est toujours un petit plus, hein, c’est bien. Mais voilà, le but de YouTube, c’est vraiment d’éduquer. Vous le savez, je suis pas là à vous rabâcher à longueur temps. Abonnez-vous, mettez un like, même si c’est cool ou à vous dire achetez c, achetez ça, même si vous pouvez toujours aller sur mon site pour le faire et c’est bien. Mais là, je pense que c’est important parce que je trouve que les enfants, les adolescents et bien ont trop peu de connaissance à ce niveau-là. Et les adultes aussi hein, quand je vois euh euh qu’il y en a qui ne savent pas, par exemple, je l’ai vu nombreuses fois en coaching, que bah les mergises et les saucisses, c’est très gras euh et qu’on peut pas comparer ça par exemple à du poulet. C’est beaucoup plus de lipides que de protéines euh qu’il faut consommer ça avec modération et que pourtant beaucoup on consomment énormément. Je prends ça mais il y a plein d’autres exemples de choses que les gens ne savent pas ou que les gens disent de toute façon le Coca Zéro c’est comme le Coca normal, c’est du faux sucre et cetera. Bah on voit qu’il y a un vrai travail d’éducation à faire. pareil sur le jaune d’œuf. Enfin, il y a plein de sujets comme ça. Donc cette vidéo, elle va servir à faire un tour d’horizon sur ces quelques points ensemble. Le point numéro 1 sur lequel j’aimerais revenir, ce sont les produits transformés. On a beaucoup d’idées reçues à ce niveau-là parce qu’on a beaucoup de gens qui communiquent sur le fait qu’il ne faut manger que des produits bruts et que les produits transformés sont tous sans exception mauvais pour la santé. Premièrement, c’est un raccourci extrême et deuxièmement, c’est totalement faux. Même s’il est vrai que prendre un produit brut par essence, on a plus de chance que ce soit sain, en fait, il faut toujours retenir que dans l’alimentation, ce qui fait le poison, c’est la quantité et c’est l’excès de manière générale et que dans les produits transformés, il y a une famille très large de produits transformés. Par exemple, si on prend ici des Chocoprinces de Lue et qu’on prend cette Ratatouille Bio village, et bien ces deux produits sont transformés. Ils ont été transformés par l’industrie agroalimentaire. Ici, c’est pas vous qui avez découpé les légumes, qui les avez préparé soigneusement et qui les avait mis dans les bocaux. Et vous vous doutez bien qu’à la quantité qu’ils en produisent par jour, c’est des machines, c’est l’industrie agroalimentaire autant que pour ces princes de lu maintenant, on pourrait discuter du degré de transformation, mais en fait ce qui nous intéresse le plus bah c’est surtout la liste des ingrédients. Qu’est-ce que ces produits contiennent et donc qu’est-ce qu’ils vont apporter, qu’est-ce que l’on va consommer ? Et donc c’est là où il est important de lire les calories, glucides, protéines, lipides, c’est bien mais quand vous faites que ça, vous n’avez pas compris. Vous devez avant tout lire la liste des ingrédients. C’est pas combien de calories de glucides de protéines de lipides j’ingère dans mon corps en premier pour la santé qui compte. C’est quels sont les ingrédients que je vais ingérer au quotidien. En retenant bien que consommer des princes de lu de temps en temps ou même tous les jours si vous n’avez pas de problème de poids ne va pas vous causer de graves problèmes de santé. Mais ça dépend de qu’est-ce que ça représente dans votre alimentation, de votre situation actuelle. Est-ce que vous avez déjà des problématiques de poids, de diabète, de cholestérol ou non et de ce que vous allez consommer à côté. Pour un enfant, consommer à 4h un prince de lutte ou les jours un ou deux selon l’enfant, selon le gabarit, selon la dépense. Si à côté il consomme des fruits, des légumes, qu’il a une alimentation équilibrée, il y a pas de problème. Vous verrez pas de problématique de santé avéré déclenché par cette consommation là. Maintenant, on ne peut pas mettre sur la même échelle les deux produits. Pourquoi ? Parce que si l’on lit la liste des ingrédients, sachant qu’il faut retenir que dans une liste d’ingrédients, c’est toujours dans l’ordre, c’est-à-dire le produit qui est en premier est celui qui est le plus contenu dans le produit. Et plus on va descendre dans la liste des ingrédients, plus le pourcentage des tenus est faible. Ici, on voit que on a courgette, pulpe de tomate, correcteur d’acidité, acide citrique. Acide citrique, ça peut, si vous avez pas de connaissance, vous tapez dans l’œil. Acide citrique ? Mon dieu, mais c’est du citron. L’acide citrique, c’est l’acide contenu dans le citron. Donc c’est parfaitement naturel. Aubergine, oignons, eau, poivron rouge, purée de tomate double concentré, huile d’olive vierge, huile de tournesol. Jusqu’ici, dites-moi qu’est-ce qui est mauvais. Absolument rien. Le produit est parfait. Ensuite, vous avez 2 % de sucre qui ont été ajoutés. On parle de 2 %. Donc là effectivement on pourrait être ticket amidon de maïs, sel, jus de citron concentré, plante aromatique, poivre noir. Donc ici à part 2 % de sucre ajouté, attention, on parle de 2 g pour 100 g de produits consommés, qu’est-ce qu’il y a de mauvais ? Absolument rien, au contraire. Donc c’est un produit transformé qui en réalité est très bon. Maintenant, si on prend ce produitl en premier, on a céréales 50 % farine de blé, farine de blé complète, pas de problème. Ensuite, on a sucre, huile végétale de palme, huile de colsa, cacao maigère en poudre, sirop de glucose, amidon de blé, poudre à lever, carbonate d’ammonium, carbonate de sodium émulsifiant. Celle les crémé en poudre permettent de lactosérum. Ici, on voit que la liste des ingrédients, on peut ticker sur l’huile de palle, mais hormis ça, ce ne sont pas des produits dramatiques qui vont être mauvais à la santé sur des faibles doses. Hormis l’huile de palme. On peut en discuter. Mais par contre, le produit n’a rien à voir en terme d’apport nutritionnel. Forcément, vu la liste d’ingrédients, vu les pourcentages, et bien ici pour 100 g, vous avez 467 calories contre 70 kcalories, 17 g de lipides contre 4 g, surtout 69 g de glucid 6,5, 10 fois plus de glucides. Et ici, vous avez plus de protéines mais bon c’est anecdotique. Donc vous voyez bien deux produits transformés effectivement mais est-ce que les produits transformés sont mauvais ? Ça dépend desquels. Deuxième point, attention aux arguments marketing. Le deuxième point, c’est attention à pourquoi vous achetez un produit. Parce que souvent, par mes connaissances, parce que le but c’est de nous vendre le plus possible et que notre panier moyen soit le plus haut possible quand on sort du supermarché, et bien on achète pour de mauvaises raisons. Par exemple, si on prend ces deux paquets de pâtes, bon j’ai pas les deux mêmes sortes de pâtes mais vous avez compris la différence. Ici, on a des pénés, des pâtes sans gluten et on a des pâtes à lasagne classique. Mais imaginons qu’on a deux paquets de pénéquets de lasagne, un sans gluten et un traditionnel. Demandez-vous pour quelle raison est-ce que vous allez acheter le sang gluten ? Parce que bien souvent le prix va être très supérieur. Alors, je sais pas combien mais ce que je sais c’est que c’est beaucoup plus cher ça. Ça ça doit peut-être se jouer à 50 % ou plus. N’hésitez pas pour ceux qui savent à le dire dans les commentaires, mais on sait tous que c’est beaucoup plus cher. Les produits sans gluten sont beaucoup plus chers, mais vous avez d’autres exemples. Les produits bio par exemple sont beaucoup plus chers. Donc, on pourrait prendre le bio et cetera et cetera. Il faut comprendre pourquoi est-ce que l’on achète. Parce que quand on va prendre des pâtes sans gluten ou des pâtes classiques, l’apport nutritionnel est le même. C’est-à-dire que globalement, si vous comparez les étiquettes, 350 kcalories contre 358, matière grasse, pareil, glucide, allez, on a un tout petit peu moins ici, mais c’est de l’ordre de 8 % de moins de glucide au 100 g. Et en terme de protéines, on a plus de protéines finalement dans celles qui sont avec gluten. Donc ce ne sont pas pour les valeurs nutritionnelles que l’on va acheter les pâtes sans gluten. Ça ne ferait aucun sens puisque c’est la même chose. On va pas payer plus cher la même chose ou une différence infime. On le fait pour ne pas consommer de gluten. Maintenant, ce qu’il faut savoir, c’est que tout le monde n’est pas sensible au gluten. Certaines personnes effectivement n’ont pas le choix parce qu’il y a la maladie céliaque par exemple ou divers problèmes de santé, maladie autoimmune ou maladie chronique pour lequel le gluten va poser des problèmes et dans ce cas effectivement mieux vaut l’éviter. Mais pour les personnes qui n’ont pas de problème avec le gluten, qui n’en ressentent pas, qui n’ont aucune problématique avérée et bien il n’y a aucun intérêt à aller surconsommer, acheter tout le temps des produits sans gluten et payer beaucoup plus cher, surtout si vous êtes rrac au niveau du budget. Et ça donc c’est un argument marketing. Il faut faire attention à ne pas tomber dedans parce que ça va vous coûter beaucoup plus cher pour exactement la même chose. C’est le cas aussi pour le bio par exemple. C’est-à-dire que le bio, autant vous avez euh des certains fruits, certains légumes où il va y avoir énormément de pesticides qui vont être utilisés, ceux qui ne poussent pas dans la terre mais en dehors de la terre. Et là, ça va être intéressant notamment si vous consommez la peau parce que vous allez avoir tous les pesticides et cetera qui vont rester et donc le bio va être plus intéressant. Idème souvent pour les sources de lipides parce qu’elles sont mieux préservées, mieux cultivées. Mais pour d’autres choses et bien vous n’avez que très peu d’intérêt à aller acheter du bio et surpayer. Donc il faut bien savoir pourquoi est-ce que vous le faites. Maintenant si c’est le bio par exemple dans une question d’éthique parce que vous pensez vraiment à l’écologie que vous êtes un militant. D’accord ? Mais encore une fois, il faut bien comprendre que souvent la plupart de ces arguments sans gluten, euh bio et cetera, si c’est dans une question de faire attention à votre santé, euh le poids et cetera, et bien parfois vous payez pour rien. Et ça, il faut bien comprendre le pourquoi du comment j’achète tel produit s’il est plus cher. Idem quand c’est une marque ou pas une marque. par exemple, on va payer parfois beaucoup plus cher des pâtes Panzani plutôt qu’une marque repère ou je sais pas lecler auchampte. Quelle est la raison ? Je lis la liste des ingrédients, je regarde bah parfois c’est exactement la même chose et ce que je paye bah c’est le bel emballage, c’est le paquet et ça ne fait absolument aucun sens. Donc parfois acheter du sangluten marque repère, bah c’est beaucoup plus moins cher que d’acheter du sangluten Barila ou Panzani. Et c’est exactement la même chose. Donc attention aussi à ça parce que même quand on a les moyens, bah ça embête toujours de payer pour rien. Un autre piège au niveau de l’alimentation, c’est de savoir quand un produit est brut et qu’ensuite il devient transformé, quelle est la différence. par exemple orange, jus d’orange. Globalement, ce jus d’orange, c’est 100 % d’orange. Donc au final, on se dit qu’on le consomme la même chose. Cette compote de pommes, c’est 100 % de pommes. Donc effectivement, c’est juste cette pomme et d’autres qui sont transformées. On enlève la peau, on enlève tout un tas de choses, on va le voir, et ça change les choses. Maintenant, ce qu’il faut comprendre, c’est que quand on passe d’un produit brut à un produit transformé, selon le produit transformé que l’on obtient et le degré de transformation, je l’ai dit précédemment, et bien on va perdre plus ou moins de valeur nutritionnelle et d’intérêt de l’ingrédient brut au détriment parfois d’autres actions réactions sur l’organisme, sur la physiologie, sur le poids et sur la santé. Par exemple, quand l’on passe de cette orange à ce jus d’orange, qu’est-ce qui va se passer ? Ce jus d’orange, il est sans pulpe. On enlève donc la pulpe de l’orange. La pulpe de l’orange, elle a tendance à être assez agressif pour les intestins. Donc pour ce point-là, ça peut être plutôt positif. Mais la pulpe de l’orange, ce sont aussi des fibres qui vont avoir tendance à rassasier. Premièrement, l’orange est un des fruits qui est les plus rassasiants. Donc, c’est-à-dire à aider quand on est au régime notamment à avoir moins faim avec à donner plus de volume alimentaire pour le même nombre de calories, à aider aussi les intestins à travailler, même si pour l’orange se discute un peu plus, mais prenons le cas d’une pomme et d’un jus de pomme, ce sera la même chose. Et donc, on va perdre cet intérêt des fibres dans le degré de transformation aussi des jus de fruits. Selon le jus de fruits que l’on a, selon celui que l’on achète, selon la marque et cetera, on va perdre une partie dans le processus de transformation des vitamines et des minéraux. On aura bien souvent, dans 90 % des cas, bien moins de vitamines et minéraux dans un jus si on ne le fait pas soi-même, par exemple avec un extracteur que dans une orange brute comme ceci. Et on va aussi consommer beaucoup plus facilement plus de calories parce que une orange n’est pas égale en terme de calories bien souvent à un verre d’orange. Surtout que ça dépend de la taille du verre et des millilitres bien sûr. Il faut bien lire ici pour 100 ml on a 10 g de glucide. Donc il faut être capable de mesurer combien de millilitre je vais boire versus mon orange, combien elle pesait. Il faut bien prendre tout ça en compte. Surtout qu’ici quand vous pressez une orange, vous vous rendez compte que pour obtenir un verre de jus d’orange, souvent il faut presser quand on a un pressagrume comme celui-ci qui coûte les yeux de la tête, merci à ma femme, trois ou quatre oranges pour obtenir un verre. Donc rendez-vous bien compte de la quantité que vous allez consommer quand vous buvez un verre d’orange et donc du nombre de calories. Il faut bien prendre ça en compte surtout que ça va très très vite de boire deux verres de jus d’orange. En revanche, manger h oranges, c’est un peu plus compliqué. Même chose ici pour la compote de pomme. C’est un peu le même principe. Avaler une compote comme ceci, c’est 17 g de glucide. Exactement la même chose qu’une pomme ici. Bah, une compote, je peux en boire comme ça très vite, quatre ou cinq à la suite. En revanche, manger quatre ou cinq pommes à la suite, je trouve que quand on mange déjà deux pommes, ça cale énormément. Le pouvoir assasiant est très important et ça, il faut bien le comprendre. Ça ne veut pas dire que boire du jus d’orange ou manger de la compote, c’est mauvais à la santé. Il faut juste tenir compte que si on est au régime, si on a tendance beaucoup manger, avoir un gros appétit, qu’on veut consommer moins de calories, bah ce ne sont pas des choix qui sont intelligents. Pareil pour un enfant qui on veut entre guillemets limiter les quantités, rassasier avec des vitamines, des minéraux, manger suffisamment sans faire trop de sucre, trop vite de calories, bah c’est pas très intelligent de lui donner ça plutôt que de lui donner ça. Ou alors il faut savoir alterner peut-être en faisant ça ou bien en faisant ça. Vous voyez ce que je veux dire ? dans la journée, tout au long de la journée parce que sinon ça va très vite et vous perdez aussi bien souvent une grande partie des intérêts parce que si vous faites ça et ça bah vous avez beaucoup moins de vitamines, de minéraux et de fibres que si vous faites ça. Mon 4rième point c’est que l’on a tous tendance à consommer beaucoup plus de calories au quotidien que ce que l’on pense. Et ça c’est un piège dans lesquels les gens qui ne quantifient pas leur alimentation, qui ne veulent pas entre guillemets compter les calories, peser, tombe très vite. Surtout quand on débute ou quand on a jamais réussi à vraiment capter comment perdre du poids et cetera parce que on a tout un tas de calories cachées entre guillemets qui se dissimulent dans notre alimentation au quotidien. J’ai pris les deux exemples les plus frappants, c’est de l’huile. Alors, j’ai pris l’huile d’olive mais on va prendre n’importe quelle huile. Et c’est de la mayonnaise, mais on pourrait prendre n’importe quelle sauce. la moutarde, le ketchup, mais j’ai pris la mayonnaise puis ce sont les plus parlants. Ce qu’il faut comprendre, c’est que bien souvent, on a tendance à bien quantifier nos sources de glucides, nos sources de fruits, nos sources de protéines, nos légumes. Bien que les légumes et les fruits pourraient rentrer dans cette catégorie parce que beaucoup pensent en consommer en illimité et que ce sont des calories qui vont disparaître. Donc mettez mettons-le aussi entre parenthèses. Mais ce qu’il faut voir c’est que bien souvent les gens pensent que quand ils vont cuire un aliment, ils vont verser de l’huile dans la poêle pour ne pas que ça accroche ou mettre du beurre. Et en fait ça on va pas le quantifier. On pense que ça va rester dans la poêle, ça va disparaître ou ça va s’évaporer comme par magie. Mais jusqu’à preuve du contraire, je n’ai jamais vu de l’huile s’évaporer. Je ne crois pas que si on met de l’huile et de l’eau dans une poêle et que l’on fait chauffer très très fort, l’huile va frire. Au pire, si vous voulez, elle va gicler sur le plan de travail, mais elle ne va pas disparaître. Elle va absorber, s’absorber sur les aliments. Elle va rester dans la poêle en partie, mais elle va surtout beaucoup coller aux aliments. Donc vous allez consommer ces caloriesl. Ne pas les compter, ça va très très vite. Pourquoi ? Parce que bien souvent quand on verse un peu d’huile comme ça, en 4 à 5 secondes, on a vite verser 90 kcalories parce que une cuillère à soupe d’huile, c’est vite 81 kcalories. Ça va très vite parce que bien souvent ben on a tendance à mettre cette cuillère à soupe. Plus si on ne la compte pas, on en rajoute un petit peu sur le plat et ça va très vite. Donc quand on ne compte pas ces dosesl par exemple dans les sauces salades et cetera, additionner l’un derrière l’autre, le total calorique explose. C’est pareil pour la sauce. Quand on se dit on va ajouter un petit peu de mayonnaise, un peu de moutarde, un peu de ketchup. Tous ne sont pas caloriques pareil. Le ketchup par exemple est beaucoup moins calorique que de la mayonnaise et de la moutarde. C’est normal, il ne contient pas de lipide contrairement à ce qu’on pense. Donc ce sera plus facile mais il faut compter quand même. Et bien ces calories ils s’ajoutent, ils ne disparaissent pas. Et souvent bah c’est vrai que on va on n pas tendance à aller peser sur la balance combien on va mettre. Mais pourtant, ce sont des calories qui vont très très vite. Je veux dire, si on mange une banale assiette de riz, de poulet et de légumes, que l’on ne compte pas la l’huile pour cuire le poulet et les légumes, on va dire dans le meilleur des cas, on met une cuillère à soupe. On a rajouté 80 kcalories et qu’ après on met un peu de mayonnaise ou une moutarde. La moutarde contient des lipides sur le côté. Souvent, on met une bonne cuillère à café voir une bonne cuillère à soupe. Et ben ça va aussi très vite parce que 10 g de cette mayonnaise, c’est 70 kcalories. Bah vous voyez avec 10 g de ça et 10 g de ça, je vous garantis peser, vous allez voir que 10 g c’est rien. Bah vous avez ajouté dans votre repas 150 kcalories. Vous faites ça peut-être deux fois par jour, bah vous ajoutez 300 kcalories. Bah 300 kcalories, c’est peut-être le déficit que vous aviez calculé au départ de votre diète et en fait vous êtes à côté de la plaque. Et si on additionne toutes ces petites choses là 5 g de plus de c de ça et bien souvent quand on a un regard objectif sur ce que l’on est en train de faire, c’est la raison pour laquelle on ne perd pas de poids ou on en prend. Voilà pour cette vidéo. J’espère que ça vous aura plu. Je pense qu’on a fait un tour d’horizon sur des points qui sont très importants et qu’il vous fautir parce que encore une fois, on fait plein d’analyses de diète, plein d’explications et cetera, mais il y a des petits points comme ça qu’on a vu tout au long de cette année et qu’on continue de voir qui sont absolument fondamentaux pour saisir et pour arriver à progresser parce que c’est bien glucides, protéines, lipides, calories de comprendre les mécanismes du métabolisme de la perte de poids. Et ça, ce sont des petits pièges que je vois même des gens avancer parfois enfin qui se disent et qui se pensent avancer tomber dedans. Je les vois tomber dedans parce qu’ils n’ont pas les connaissances dans la profondeur et l’alimentation bah c’est bien plus large qu’on le pense. Et ça tous ceux qui ont rejoint les sessions à W School et vous avez été nombreux, je vous en remercie, vont aussi la prendre avec moi et ça va être une joie dès le 15 septembre de partager ça avec vous, avec les près de 100 personnes qui ont rejoint la W school. Les sessions commenceront le 15 septembre. C’est clos pour les autres jusqu’à la fin d’année, mais vous avez toujours la liste d’attente si vous voulez aller vous inscrire. Je vous remercie et je vous dis à très bientôt pour une prochaine vidéo. À plus. [Musique]