Gary Stal shares his story of ending his golf career after only five tournaments, where he played only 18 holes each time, struggled with pain and fatigue. He decided to stop competing due to these challenges, even though it meant missing out on the thrill of the sport. Despite this, he acknowledges that his passion for golf was lost, and now he’s focusing on other interests. He also mentions his past successes and how the game has evolved since then, including his experience at pros from 2012-2018. Looking forward, he discusses his upcoming plans, such as a podcast on golf challenges and motivational talks.

Garistal à nouveau confronté à un choix décisif. Asterérisque astérisque et si le golf tel qu’il est devenu avait perdu son âme. Asterisque astérisque, c’est avec un mélange de regret et de lucidité que je partage aujourd’hui une décision difficile. Après seulement cinq tournois à disputer cette saison au dont quatre où je n’ai pu jouer que 18 roues, je me vois dans l’obligation de faire une pause. Les douleurs persistantes au dos, les antidouleurs devenues compagnons hebdomadaires, tout cela rend la pratique du golfe insoutenable. J’ai donc choisi de ne plus participer à des compétitions tant que mon corps ne me permettra pas de jouer sans souffrance et d’enchaîner les tournois sereinement. Car oui, le golf est déjà un sport exigeant, ajouter des douleurs physiques. C’est comme tenter de grimper une montagne avec des poids aux chevilles. Et qui dit douleur dit entraînement réduit, or sans entraînement régulier, la performance s’effondre. C’est une spirale sans fin. Astérisque. Astérisque, mais ici, c’est là que ça devient délicat. Astérisque, astérisque au-delà du physique, je dois avouer que l’envie, cette flamme qui m’animait, s’est estompée. Le goût du jeu, celui de l’entraînement, semble s’être évanoui. Et croyez-moi, perdre l’envie d’avoir envie, c’est bien plus dur qu’on ne le pense. Alors, alors que je m’apprête à prendre un vol de 9h, j’avais prévu de rédiger quelque chose de structuré, mais voilà, je vous livre plutôt un récit brut, sincère de ce qui me traverse l’esprit. De 2012 à 2018, j’ai adoré mes débuts professionnels. Tout était excitant, nouveau. Mais ensuite, les choses ont pris une tournure inattendue. Covid, LIV, vous connaissez la suite. Pourtant, au début, c’était magique. Quand j’ai intégré le tour, il y avait des joueurs charismatiques des Stenson, Garcia, Westwood, Schwarzell, Pulte, Jiméné, Olazabal. Une génération qui avait une aura particulière, une présence qui transcendait le simple jeu astérisque astérisque et c’est là que ça pourrait diviser. Asterérisque astérisque, je ne parle pas du niveau technique qui est indéiablement supérieur aujourd’hui grâce à des outils comme Trackman, les caméras haute définition et des heures innombrables passées à peaufiner chaque détail. Mais à force de tout analyser, de tout quantifier, ne per pas l’essence même du golf. cette créativité, cette intuition qui faisait son charme. Asterérisque, astérisque et c’est ici que la plupart des gens ne voient pas le problème. Astérisque, astérisque aujourd’hui sur les parcours, tout le monde a les yeux rivés sur son téléphone, à filmer, à analyser, mais plus personne ne prend le temps d’observer, de ressentir. Le golf est devenu une science, pas un article. Bien sûr, je généralise un peu parce que soyons honnêtes, j’adore généraliser. Mais pour moi, il y avait quelque chose de plus authentique avant. Cela dit, je tiens à préciser que cela ne diminue en rien les performances impressionnantes des Français sur le Tour. Aucun sentiment de jalousie ici, juste une réflexion personnelle qui, j’en suis conscient, pourrait être mal interprétée. Asterérisque, astérisque, mais voici où ça devient controversé. Asterérisque ! Asterérisque ! Ce nouveau golf avec ses invitations sur le DPWT, ses catégories de légendes et autres classifications sorties de nulle part me laisse perplexe. Comment des joueurs ayant gagné leurs cartes via le challenge Tour peuvent-ils être mis de côté au profit de ces catégories ? C’est une question qui mérite d’être posée. Peut-être que la prochaine fois, je développerai cela dans un podcast avec un ton peu plus animé. En attendant, merci pour vos messages de soutien et bonne soirée à tous. Et vous, qu’en pensez-vous ? Le golf a-t-il perdu son âme ou est-ce une évolution naturelle ? N’hésitez pas à partager votre avis en commentaire. Le débat est ouvert.

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